Quelques longueurs et d'autres longueurs! (pv Zan et Émilia)

A la recherche d'une piscine ou d'un cours, suivant les indications de l’oracle dans sa boite noire, après c’être perdu quelques 5 fois, Zan arrive tout bonnement au Gymnase. Il y découvre une magnifique piscine creusée aux dimensions olympique. L’eau est clair et merveilleuse a regarder. N’aillant que très rarement l’occasion de s’amuser dans l’eau, Zan se déshabille, ne gardant que c’est sous-vêtements et plonge sans vérifier la chaleur de l’eau. Magnifique! La chaleur parfaite! Il commence donc a faire des longueurs histoire de dégourdir ces muscles qui nécessite un peu plus d’action depuis son arrivé en ces lieux.

Émilia venait de sortir des douches où elle avait été se changer pour revêtir son maillot de bain deux pièces noir. Elle arriva donc, avec une serviette nouée autour de la taille et ses sandales sur le bord de la piscine où elle vit Zan.

- L'eau est bonne ? demanda-t'elle en le voyant nager.

Elle dénoua sa serviette, retira ses sandales, révélant le bas de son maillot et étendit celle-cie par terre avant de s'asseoir sur le bord de la piscine et d'y plonger lentement ses jambes dénudées.

- Au fait... j'oubliais... on a oublié de vous mentionner que vous avez des costumes de bain dans vos chambres respectives... Tes sous-vêtements vont être tout collants lorsque tu vas sortir de l'eau.

* Ça va faire un très joli spectacle pour les demoiselles... * pensa-t'elle... en voyant qu'il n'avait pas son costume de bain...

Entendant une voix près de la piscine, Zan s’interrompt au milieu de ces longueurs qu’il aime tellement faire. Voilant la directrice retirer sa serviette et plonger les jambes dans la piscine sans attendre sa réponse, il recommence doucement a nager. Éclatant de rire quand elle parle de ces sous-vêtements qui allaient être collant, Il s’interrompt a nouveau, se tourne vers elle et réplique avec un grand sourire bien amusé;

-Que ceux qui n’apprécient pas le spectacle regarde ailleurs. Certaines, j’en suis certain en redemanderont! Sinon, je pourrais toujours les retirer complètement et me promener avec rien sous le pantalon, pour ce que ça me dérange. Merci néanmoins de m’avertir pour les maillots de bain!

Puis il reprend ces longueurs de plus belle.

La réplique de Zan fit sourire la directrice. L'eau était à une très bonne température.

- Oh... loin de me déranger jeune homme... bien entendu, pour ce qui est de vous promener sans sous-vêtements sous vos panthalons, c'est à votre aise, bien que ce ne soit pas recommandé dû aux nombreux exercices que l'on peut vous faire faire en tant que membre de l'équipe de combat. Quant à vous promener pratiquement nu, j'y renoncerait si j'étais vous... Il est parmis nos élèves et enseignants qui pourraient être tentés de vous violer et dans ce cas, vous ne seriez pas le violeur, mais la victime. dit-elle en ironisant sur ses propres mots.

La directrice se releva et plongea dans l'eau tout en prenant soin de ne pas couper Zan dans une de ses longueurs. Le contact avec l'eau hummecta sa longue chevelure qu'elle n'avait pas attachée. Elle remonta à la surface pour prendre une bouffée d'air.

Continuant un moment ces longueurs sans répondre, Zan garde en mémoire tout ce que la directrice dit. Ayant terminer sa série en crawl, le jeune homme s’arrête un peu le temps de souffler. Il nage jusqu’au rebord de la piscine et s’y adosse. Il tourne ensuite le regard vers Émilia qui nage un peu plus loin et lui répond.

-J’en suis personnellement a 34 viols. 30 ou je suis le violeur. Étrangement, pour me, moi faire violer se révèle presque amusant. Peut-être est-ce le masochiste en moi qui aime cela. Alors je pourrais me promener nue dans ces couloirs sans craindre le viol, car il plutôt agréable. Bien-entendu, j’aime mieux être l’acteur, mais la vie étant ce qu’elle est...

- 34 viols ainsi donc ? J'ai cru que vous en étiez seulement à votre vingtième... Il semble que je vais devoir rectifier les données sur votre dossier alors. Mais ce sera pour plus tard. dit la directrice en nageant lentement, laissant l'eau caresser son corps tout en jettant quelques coups d'oeil à Zan.

- Et... ces viols... Certaines de vos victimes ont aimé se faire violer ?

Question plutôt audacieuse mais à la fois intéressante. La jeune femme se demandait si ce dernier répondrait à sa question. Sans doute répondrait-il par l'affirmative puisqu'il avait sûrement pris ses dispositions pour que ces dernières y prennent plaisir.

- Je veux dire... Certaines de vos victimes en ont redemandé par la suite ? rectifia-t'elle.

Éclatant d’un rire cruel et sinistre, Zan regarde Émilia nager pendant un moment d’un air énigmatique. Il s’émerveille pendant un cours instant de sa grâce sous l’eau puis il choisie de répondre.

-Je suis probablement l’unique personne qui puisse aimer se faire violer. Ou du moins, les êtres de mon espèces sont horriblement rare. Si on prend le nombre de mes victimes, vingt viols en effet. Quatre Dont je fut la victime. Il en reste donc dix. Une de mes victimes, je l’ai violé cinq fois avant qu’elle ne soit trop surveiller pour que je puisse recommencer. Une autre, je l’ai violer a trois reprises avant de me lasser d’elle. J’ai violer un gars trois fois aussi, mais bon, ces fesses beaucoup trop poilues commençaient a me donner des cauchemars. Et deux autres victimes deux fois chacune. Ça fait donc trente quatre fois.

La directrice avait cessé de nager lorsque ce dernier avait éclaté de rire. Aussi, le fixa-t'elle surprise alors qu'il lui racontait ses mésaventures.

- Je suis surprise, vos victimes étaient donc si ... vulnérables ? Ou bien... était-ce parce que vous les aimiez comme tel ? C'est étrange parce que je vous voyais plus comme un jeune homme de défis... non comme un vulgaire violeur... C'est étrange n'est-ce pas comme il vaut mieux ne pas se fier aux apparences ?

* Je me demande ce que je ferais dans ce genre de situations... Me laisser faire ou me débattre ? Ça reste à voir... mais sans doute est-ce que je me batterais un peu avant de coopérer... mais on ne sait jamais... * pensa-t'elle alors qu'elle se laissa flotter sur le dos en faisant la planche.

-Le type était réputé pour être le plus fort de tout Montréal nord, alors je l’ai choisit par défi, ensuite pour l’humilier de s’être autoproclamé le plus fort quand il était faible. La fille que j’ai violé cinq fois était la fille d’un capitaine de police. A chaque fois, elle était plus difficile a atteindre a chaque fois. J’ai toujours choisie mes victimes par défi... Sauf la première et la troisième qui s’étaient refusée a moi trop longtemps.

Ayant terminer sa pause, Zan commence une série de 15 longueurs en nage papillons. Ces muscles bien découpé sans être trop imposant miroite sous les lumières veux la couche d’eau qui le recouvre et on aperçoit bien une cicatrice tout le long de son dos.

Émilia avait cessé de faire la planche lorsque Zan avait commencé à parler. À vrai dire, elle s'interrogeais sur la méthode que pouvait utiliser ce dernier pour violer ses victimes, voir déjouer la sécurité pour les atteindre. Son type de nage était précis. À le voir nager, on dirait qu'il avait fait ça toute sa vie. En même temps, de voir ce corps si jeune et presque dénudé commençait à provoquer une légère exitation chez Émilia. Elle s'adossa au rebord de la piscine avant de lui demander.

- Et... comment vous êtes-vous senti lorsque vous vous êtes fait violer ?... si je peux dire... Est-ce que c'était les victimes que vous aviez choisi qui vous violaient ou bien était-ce une autre personne ? Était-ce ... agréable ? osa-t'elle demander.

Et puis, avec une touche d'embaras, elle se reprit...

- Est-ce... ... approprié de vous poser ces questions ?

Zan ne répondit pas tout de suite, toute ça concentration était dans la nage. Aussitôt qu’il eu terminé sa série, il alla s’adosser près de la directrice pour facilité la conversation... Et se reposer car il soufflait comme un bœuf. Il prit un peu de temps pour reprendre son souffle et commença son explication.

-Comment pourrais-je décrire ce que je ressentais pendant le viol... Premièrement, c’étaient des types plus fort que moi qui me violaient. Après tout, a leurs yeux, il n’y a pas plus honteux que de ce faire violer. Pour la sensation, prenez un clou et enfoncez-vous le dans la main. Douloureux? Horrible. Apprenez a adorer la douleur, a la trouver plus agréable que la boisson, plus agréable que la sensation d’un vent frais sur votre peau lors de journées de canicules et vous serez en extase.

Pour illustré son propos, Zan montre sa main ouverte a la directrice et se déboite un doigt sans fléchir. Un sourire de bien-être se forme sur son visage, un frisson d’appréciassions lui passe dans le dos. Quand il replace le doigt, le même phénomène s’opère sur les traits du jeune homme.

- Eww... ça ne doit pas être plaisant dans ce cas... Quant à l'appréciation de la douleur, d'après ce que je vois, bien des membres de notre organisation donneraient beaucoup pour pouvoir l'apprécier autant que vous.

La directrice n'était pas trop certaine de savoir quoi dire de plus vis à vis de la réaction de Zan. À vrai dire, elle était plutôt... inquiète... de savoir que ce dernier avait une telle résistance à la douleur. Inquiète pour elle ? Peut-être... pour les autres gens de GEMR, sans doute autant.

La directrice n'osait plus prononcer un mot. Elle repensait à une des fois où un homme l'avait forcée à avoir une relation. Le problème, c'est qu'elle l'aimait à ce moment là, mais elle n'était pas prête pour ce genre de choses. Ça s'était passé dans l'enceinte de GEMR. Elle n'en avait jamais parlé à personne puisqu'elle avait préféré coopérer à l'époque plutôt que de se faire battre. Elle avait cependant été très déçue de voir qu'aucune mesure n'avait été prise... pire encore, elle ne savait même pas le nom du type, sinon qu'il était libanais, qu'il habitait Montréal et que son pseudonyme était Shaz.

-Personne ne donnerais rien pour l’aimer autant que moi... Cela, je peux vous l’assurer. Il faut souffrir. Il ne faut pas avoir mal, mais bien souffrir. Souhaiter la mort a bout de douleur. Pleurer tout son être parce qu’elle ne vient pas, et quand la douleur commence a diminuer, la voir revenir encore et toujours pour au moins 2 ans. Personne ne donnerais rien pour vivre cet enfers.

A ces mots, La voix du jeune homme tremble de plus en plus. C’est souvenir sont encore beaucoup trop douloureux dans son esprit, malgré qu’ils se soient conclu 5 ans auparavant. Des larmes coulent le long des ces joues en de silencieux sanglots et il commence a respirer plus profondément pour se calmer et reprendre contenance.

Un souvenir douloureux revint en mémoire de la directrice. Tant psychologiquement que physiquement, elle avait souffert sur le point.

- J'ai vécu quelque chose de semblable vous savez... Autrefois, il y a longtemps... Un type que j'aimais en plus. J'ai déjà souhaité perdre la vie, ça m'a été très difficile. C'est même arrivé à quelques reprises mais je n'avais même pas la force de faire quoi que ce soit pour exécuter mon souhait. Comme si une force invisible s'y opposait. À ce moment là, je ne savais plus où j'en étais. Je me sentais perdue. Je n'avais plus de points de repères, je n'avais plus aucune motivation, ceux à qui je m'étais confiée auparavant m'avaient rejettée et je n'avais plus d'espoir... jusqu'à ce qu'un jeune homme un peu farfelu qui avait exactement le même âge que moi n'accepte de me reparler. Oh... je n'ai pas été des plus exemplaires avec lui, mais qui peut me le reprocher... j'étais désespérée...

La jeune femme avait fixé le regard du jeune homme alors qu'elle parlait, dumoins jusqu'à ce qu'elle réalise qu'elle ne l'avait dit à personne jusque là, sauf peut-être à ce jeune homme même. Non pas Zan, qu'elle ne connaissait que depuis peu, mais plutôt un autre jeune homme, rouquin très sympathique qu'elle avait connu quelques années auparavant. Elle passa sa main sur l'épaule plutôt solide de Zan, de manière à la fois délicate en laissant descendre da main jusqu'au bras.

- Ça va Zan... je crois comprendre ce que vous vivez... mais si vous voulez en parler... sentez-vous libre de le faire.

Au moment au la directrice lui touche le bras, Zan sursaute et semble se refermer sur lui-même. Son regard ce vide et se ferme, son visage devient de marbre et plus rien ne semble pouvoir l'atteindre.

*Non mes merde, pourquoi j'me laisse aller a faiblesse? J'pas un crétin, icitte, s't'une place ben dangereuse, faud pas j'fasse ça. Ça vas se r'tourner contre moi.*

-Chère directrice, aimeriez-vous parler un peu plus de cette expérience troublante et douloureuse? Peut-être ne suis-je pas le meilleur confidant sur cette planète, mais ce confier a autrui ou aux truies est toujours bénéfique sur le court terme.

Devant la question de Zan concernant son souvenir, la directrice hocha la tête et détourna son regard l'espace d'un instant. Fermant les yeux deux secondes, pour rassembler les forces qui lui permettraient de ne pas montrer son embaras.

- Je ne crois pas que ce soit une bonne idée Zan. Ce n'est pas le genre de sujet dont j'aime parler. Je me disais simplement que si vous souhaitiez en parler, vous aviez quelqu'un auprès de vous pour vous écouter.

* Je ne peux pas en parler comme ça... c'est insensé... De toute manière, ça ne vaut pas la peine de parler de cette situation, ça fait longtemps que le mal est fait... *

La directrice était quelque peu troublée. Les images repassaient dans sa tête, mais elle ne voulait pas en parler. Elle plongea la tête sous l'eau pour hummecter ses cheveux et la ressortit en toussottant légèrement et en s'essuyant les yeux pour mieux voir.

Éclatant d'un rire a la fois fou et désespéré, Zan regarde la jeune femme ressortir de l'eau en toussotant. Au moment ou elle retire la main de ces yeux, il passe a côté d'elle et lui pousse la tête sous l'eau et la tien ainsi un petit moment avant de la libérer et de s'éloigner en riant. Il se retourne ensuite vers elle et, avec un regard malicieux, lui dit;

-Ne vous méprenez pas sur mon compte, chère directrice. Je ne suis pas le jeune homme frêle et fragile cherchant une épaule sur laquelle pleurer. Plutôt que de m'abaisser a ce niveau, je m'épuiserai dans une salle de musculation ou dans une piscine.

Sentant qu'on la poussait dans l'eau, elle se débatit un peu et puis remonta vers la surface en toussant. Elle s'essuya de nouveau le visage et se tourna vers Zan pour l'arroser d'une grosse giclée avant d'éclater de rire et de lui faire une grimace en s'éloignant en nageant de dos, offrant une vue sur le haut du maillot de cette dernière. La chevelure rouge d'Émilia flottait dans l'eau, ondulant au gré des vaguelettes de la piscine à l'eau aussi limpide que du cristal. La directrice s'arrêta à quelques mètres de Zan, maintenant la distance pour prévenir les moindres gestes de ce dernier. S'il bougeait, elle le verrait, dumoins, jusqu'à ce qu'elle décide qu'il était inofencif.

- Je m'en doutais, mais on ne sait jamais... Vous savez, c'est lorsque vous commencez à considérer vos faiblesses comme des forces que vous commencez à en faire vos forces. C'est dumoins ce que l'on enseigne à nos élèves de mind. Bref, Alynski avait une théorie très intéressante à ce sujet :

Les handicaps apparents peuvent se transformer en les meilleurs des atouts. Il faut revendiquer chacune de ses spécificités comme une force et non comme une faiblesse. expliqua la directrice.

-Alynski? Qui était-ce? Un philosophe reconnu? Un psychologue réputé? Un fou parmi tant d'autre? Vous avez de ces livres a la bibliothèque? Pourriez-vous m'en conseiller un qui en vaut plus la peine que les autres?

A la simple notion d'une personne avec une théorie intéressante, Zan sent son cerveau bouillir. Une soif d'apprendre toujours plus vorace bouille plus forte en lui que la lave d'une éruption volcanique. Cherchant toujours a en connaitre plus sur tout, le jeune homme montre pour la première fois depuis son arriver, un intéret TRÈS poussé vers les connaissances philosophiques et utilitaire, comme pour le combat et la manipulation.

- En 1970, Saul Alynski, agitateur hippie et figure majeure du mouvement étudiant américain, a publié un manuel énonçant dix règles pratiques pour mener à bien une révolution. Et il se trouve qu'une copie de ce manuel se trouve justement dans notre biliothèque. Il était reconnu pour son imprévisibilité. Un homme très très dévoué à sa cause d'ailleurs. On a cherché à détruire toutes les copies de son oeuvre mais nos hommes ont réussi à l'intégrer dans l'enseignement philosophiques des écoles.

Elle lui jetta un regard moqueur...

- Cela vous intéresse ? Je croyais pourtant que la lecture n'intéressait pas les types comme vous... que vous n'en aviez rien à faire... Je fais erreur ?

- Cela vous intéresse ? Je croyais pourtant que la lecture n'intéressait pas les types comme vous... que vous n'en aviez rien à faire... Je fais erreur ?

A ces mots, Zan jette un regard légèrement dédaigneux et de dégoûté a la jeune femme. Elle qui est directrice ne connais pourtant pas les règles primaire de la puissance et du pouvoir? Son regard passe ensuite a une lueur amusé et mystérieuse. Il lui répond d'un ton légèrement hautain et sarcastique;

-Bien sur, un livre est inutile pour battre quelqu'un ou lui briser un membre. Avec beaucoup de patience, on peut tuer avec les pages par contre. C'est que ça coupe ces merdes! Mais, bien plus utile, les livres et les connaissance sont le vrai pouvoir et la vrai puissance. Un barbare de muscle incapable de réfléchir règnera sur sa meute peureuse et faible aussi longtemps qu'elle le craindra. Par contre, un enfant plus intelligent que les autre trouillards le vaincra facilement en utilisant son cerveau! Il est donc important d'être instruit et bon dans les combats pour règner et ce démarquer!

* Bien dit, pour un combattant... * pensa-t'elle en souriant avec un peu de malice dans les yeux.

La céramique bleue et marine qui tamisait la piscine donnait à ce grand récipient une allure d'eau. Le point étrange avec l'eau, c'est que son mouvement est tellement sensuel que ça provoque des bouffées de chaleur et d'exitation. La jeune femme sentit un petit courant d'eau venant du rebord de la piscine. Ce dernier provenait du système de filtrage de la piscine qui aidait à maintenir l'eau propre et claire. Elle passa sa main devant le jet d'eau sous-marin qui titilliait les doigts d'Émilia. Le jet lui rappelait des souvenirs de bain tourbillon, voir, de spa, endroit très ... inspirant pour avoir une relation. Un éclat de perversité passa quelques secondes dans les yeux de la directrice avant qu'elle ne ferme les yeux et émette un sourire pervers en passant sa main sur le jet.

Observant la directrice pendant un moment, Zan voit très bien son sourire et son regards. Un frisson le parcourt, un frisson glacé et déplaisant. Si quelqu'un les découvraient en pleine action, ils auraient tous les deux de grands problèmes. Plutôt que de laisser le temps a la tentation de ce faire sentir, le jeune homme opère une retraite stratégique. Il nage doucement, paresseusement vers le bord de la piscine et y pose doucement les bras. Il pose ensuite la tête sur ces bras croisé et ferme les yeux, portant grande attentions aux bruits qui l'entourent.

Ouvrant les yeux au moment ou les lumières change, Zan les referme aussitôt, appréciant le bruit reposant de l'eau autour de lui. Continuant d'écouteur avec appréciation chaque son dans la pièce les yeux fermer, il fini par entendre un léger gémissement de la part de la femme derrière lui. Quelques fugaces images lui passent par la tête, image qu'il chasse aussitôt. Il ouvre les yeux un instant histoire de se remettre les idées en places, regarde la directrice qui fait la planche, repose la tête sur ces bras et ferme a nouveau les yeux.