Désir dévorant... dérangé??

{Cafétéria}

Léna arriva la premiere a la serre. Comment? On ne le sais, mais elle alla s'allonger au même endroit où elle et Zan s'étaient installés, alors qu'ils avaient manqué de s'offrir l'un à l'autre. Son corps brulait de la même fièvre qu'elle ressentait lorsqu'il avait voulu la violer, dans la cafétéria... Mais, pouvait on réellement appeler cela un viol, vu à quel point elle en avait envie, et à quel point elle était consentante??

Elle ne désirait qu'une chose de lui : Qu'il fasse d'elle sa chose, son jouet, comme apparement il savait si bien le faire... La jeune Russe voulait qu'il l'attrape, et qu'il lui fasse sentir qu'elle était vivante, qu'elle ressentait des choses... Qu'elle ressentirait le magnifique plaisir qu'il lui donnerait...

S'étant arrêter une minute pour observer un vol d'oiseau, Zan n'a pas remarqué que Léna est passé devant lui avant de revenir a la réalité. Manger attendra, maintenant, il faut se calmer! Il entre a son tour dans la serre et va la rejoindre la ou l'herbe es encore couché de leurs dernière visite.

Aussitôt arrivé a la hauteur de la jeune femme, il se penche au dessus d'elle avec un regard avide. Sans aucune cérémonie, Il lui arrache la veste volé quelques minutes plus tôt, en prenant bien soin de ne pas blesser la jeune femme. La veste se retrouve bientôt au sol, en parfait état, et la jeune femme est assise dans l'herbe devant un Zan flamboyant d'Amérique. Celui-ci, sans un mot encore, descend son pantalon et son caleçon et présente un membre fièrement dressé a Léna, avant de lui poser les mains sur la tête et de la guider vers son sexe pulsant son désir.

Quand Zan entra dans la serre, la jeune femme toujours étendue dans l'herbe leva la tête et le regarda. Sans un mot, il s'approcha d'elle et lui arracha sa veste, sans toutefois déchirer le tissu. Avant même que le vetement ne touche le sol, Zan avait baissé son pantalon et son calecon, et avait saisi Léna par la tête, la mettant en face de son sexe pulsant doucement, étrangement dressé...

La jeune femme secoua la tête, rejetant les mains de Zan, avec un petit sourire espiègle. Elle n'était pas du genre à se laisser docilement faire, et elle avait bien l'intention de le faire comprendre à son futur amant. Elle le regarda et montra les dents, amusée, avec un grognement...

Le jeune homme la saisit par les cheveux, et Léna n'eut d'autre choix que d'obéir à son ordre muet...

Elle mit le membre de Zan dans sa bouche, le sucant et le léchant doucement, rapidement, au gré de ses envies, provoquant chez son ami des gémissements légers...

Voilant la faible résistance de la jeune femme devant lui, puis souriant sadique en voilant ces magnifiques dents blanches et en entendant le grognement de sa semi-proie, Zan ne peux que la prendre par les cheveux et l'attirer de force vers son désir plus dur que le Rock. Quand Léna le prend enfin en bouche, Zan pousse un gémissement de soulagement et de plaisir. Les capacités de la jeune femme se preuve supérieure a la moyenne et le jeune homme voyage dans les bras de l'extase.

Après un moment, il lui tire sur les cheveux, l'obligeant a relâcher son membre qui se plaisait tellement dans cette bouche avide. Il couche sa jeune conquête sur le sol et lui retire son pantalon et son shorty avant de se coucher sur elle. La tendresse n'es plus de mise, la seule chose qui importe en se moment, le désir et l'assouvissement de ce désir. Dans un grand coup de rein sans la moindre retenue, le jeune homme pénétré sa magnifique conquête, l'écrasant sous son poids, sans lui laisser le temps de dire quoi que ce soit, ni la possibilité de le repousser.

Léna poussa un long gémissement de plaisir, lorsque Zan la pénétra violemment, toujours sans rien dire, et sans rien laisser dire a la jeune femme qu'il venait de coller au sol. Ses allers et retour arrachaient à la pauvre Léna de longs et déchirants gémissements, des haletements et des paroles incohérentes. Ses ongles se plantèrent dans la chair de son dos et déchirèrent sa peau sans pitié...

Les dents de la jeune femme se mirent à mordre le cou de son infortuné partenaire, et elle le serra de ses jambes, toutefois sans gener les mouvements. Doucement, adoptant le visage d'une damoiselle en detresse terrorisée, fait mine de vouloir le repousser....

"Non pitié monsieur au secours lachez moi"

Elle augmenta la force de pousser, comme si elle voulait vraiment s'échapper...

Le sentiment des ongles de Léna ainsi que de ces dents excite énormément Zan. Par contre, quand elle commence a ce débattre, la jeune femme n'a pas idée a quel point elle le pousse dans les bras de l'excitation. Mais elle ne sait malheureusement encore moins a quel point elle a put se mettre dans une situation inconfortable. Zan lui attrape les poignet et les lui tiens au dessus de la tête avec assez de force pour lui laisser des ecchymoses. Il lui mort ensuite la gorge juste en dessous du menton, l'empêchant de parler, écrasant légèrement son larynx, rendant la respiration difficile, mais pas impossible. Il doit briser sa proie, il n'a plus le choix, sinon, il risque d'avoir des problèmes. Il sertir donc d'entre ces jambes et se positionne devant l'autre entrée. Il pénètre sans douceur entre les fesses de la jeune femme, lui mordant toujours la gorge, lui tenant les poignets.

Le souffle presque incapable de franchir ses levres, les poignets meurtris et le corps se tordant à la fois de plaisir et de douleur, Léna ne pouvait que laisser Zan disposer d'elle, comme il le voulait, comme il le désirait... Elle n'était a présent qu'une pauvre poupée entre les mains d'un marionnetiste expert... Un marionnetiste excité, pervers et violent...

"Z...
Zan...
J'ai..."

Aucun mot, aucune phrase ne parvenait a passer ses levres, sa gorge était écrasée avec force par les dents de son fougueux partenaire.

Un éclair de lucidité passe soudain dans la tête de Zan et il se rend compte de ce qu'il fait. La situation est des plus excitante pour lui, mais Léna l'a malgré tout aidé a vaincre le directeur adjoins, elle a donc droit de prendre son pied elle aussi. Levant les yeux sans relâcher sa prise cette gorge tendre et appétissante, il n'a d'autre choix que de remarquer que sa magnifique conquête est aux anges malgré la douleur.

*Mais... elle aime être un objets? Mais bordel, vais adorer cette fille! Assez dangereuse pour me tenir tête, assez folle pour avoir peur de personne, assez perverse pour adorer baiser avec moi... rah elle est fait pour moi!*

Sans arrêter ses va-et-viens dans cet anus très accueillant, le jeune violeur relâche la gorge de sa partenaire et lui roule une pelle plus passionné et plus brulante qu'un feu de forêt. Il lui tiens toujours les poignets avec la même force, mais il lui accorde un minimum de liberté.

Léna, qui avait bien remarqué le moment de folie de Zan, et le moment ou la lucidité avait repris le controle du cerveau de celui ci, profita de cet instant de clairvoyance pour lui mordre la levre inferieure avec sauvagerie, jusqu'au moment ou le sang perla a travers la peau fragile. Quelques instants plus tard, il l'embrassa avec plus de passion que la jeune femme n'en avait jamais connu...

Les gémissements que poussait a nouveau Léna étaient presque des hurlements de plaisir, qui retentissaient dans la serre, sous ses murs de verre étincelants...

"ZAN !!
HMM OUI, CONTINUE!!"

La tête commence a tourner a notre jeune étalon. Il commence a prendre vraiment conscience de la douceur de la peau de Léna a nouveau, et il retrouve l'odeur qui lui donnait de doux vertiges leurs de leur première visite en ce lieu. Cette douce chaleur contre son corps, ces dents aussi avide que les siennes, cette voix, belle voix, douce voix. Zan ne saurait résister a cette beauté si elle s'offrait a lui, peu importe le moment. Il ne ferait encore que très peu de chose pour elle, mais la satisfaire serait un plaisir intense et une fierté!

Ralentissant ces va-et-viens, le jeune homme prend son temps pour en profiter au maximum, et en faire profiter a sa valeureuse conquête du moment. Il lui relâche les poignets pour mieux profiter de ce corps magnifique, lui caressant les seins avec douceur, puis les glissant plus bas et glissant son pouce entre les lèvres humide de Léna.

Lorsque Zan relacha les poignets de sa jeune conquete, celle ci gémit, tant de plaisir que de révolte. Elle qui n'avait jamais été soumise a personne, ne désirait rien d'autre que d'être l'objet de son partenaire, en cet instant.

Durant des années, elle avait tenu debout, elle avait réussi a tenir, grace principalement à sa force de caractère, au fait qu'elle ne laissait personne lui marcher sur les pieds, personne la dominer... Alors que chaque seconde la guettait, comme si elle était la dernière, Léna parvenait à avancer malgré tout, en ne se fiant qu'à elle...

Cependant, ici, dans les bras de Zan, qui la caressait et s'affairait à lui offrir le plus de plaisir possible, la jolie Russe ne voulait que s'abandonner, s'écrouler, ne plus tenir, et se laisser glisser dans cette étreinte sauvage...

La jeune femme serra ses bras autour du cou de son amant, ferma les yeux, et un sourire naquit avec douceur sur ses lèvres fines et rouges...

Les va-et-viens a l'intérieur de sa magnifique conquête étant de plus en plus lent, Zan en profite pour l'embrasser d'une façon bestiale. Il lui mord le coin des lèvres doucement, continue sur la joue, bientôt la gorge suis sous ces dent et a la base de l'épaule, il la mord sauvagement, perçant la peau du bout de ces canines, mais cessant d'augmenter la pression de ces dents au moment ou le goût du sang ce fait sentir sur sa langue. Son pouce s'active toujours a l'intérieur de la beauté pendant se temps.

Soudain, le jeune homme s'arrête complètement, et se retire avant de ce coucher sur le dos dans l'herbe. Il regarde Léna avec un sourire étrange, un mélange de passion, de sadisme, d'amusement, de désir et de menace passe dans ces yeux, mais il ne dit rien.

Léna jeta un regard meurtrier a Zan, avec toutefois une lueur espiegle dans ce regard. Elle se mit à ramper vers lui, et lui grimpa dessus. L'embrassant avec fougue et passion, elle lui grimpe dessus sans dire mot. Commencant de lents mouvements de hanches, elle les accélèrent de plus en plus, jusqu'à atteindre un rythme presque insoutenable, qu'elle parvint toutefois à soutenir.

Elle ferma les yeux et baissa la tête, ses cheveux tombant en cascade devant son visage. Elle sentait le souffle commencer à lui manquer, mais elle pouvait encore tenir.

Cependant, alors que le plaisir continuait de la dévorer, elle sut qu'elle ne tiendrait pas bien longtemps avant d'atteindre le nirvana, l'extase suprème. Les doigts de Zan la parcourant étaient si doux, et son corps si bien proportionné si tendre sous les caresses furtives de la jeune femme, que Léna pensait peut être être arrivée au Paradis...

Toujours couché sur le dos, Zan observe sa tendre conquête le chevaucher. Au moment ou elle lui a jeter un regard meurtrier, il frisson délicieux l'avait traversé de pieds en cap. Le rythme de ces monté et descente sur son membre gonflé par un désir toujours plus intense est le plus endiablé que le jeune homme est jamais connu. Il y va avec coeur et visiblement, il apprécie. Le jeune homme avait vue juste, un brin de liberté lui plait tout autant. Voila, il en fera a la fois sa chose et son égale. Tout dépendra de son humeur.

Sur cette pensé, il entend Léna haleté de plus en plus. Il prend aussi conscience de son propre souffle et que ces mains caresses son amante sans qu'il sen soit aperçu. Le plaisir commence a monter et monter en lui, bientôt, il sera incapable de ce retenir. Il plonge les yeux dans ceux de Léna. Une histoire vient de lui passer par la tête. Le baiser de la veuve noire, est-ce bien le nom? La passion brille dans son regard, voir même une affection sincère pour une personne lui ressemblant tellement. Mais aussi la suspicion, car il a du mal a ce faire confiance a lui-même parfois, comment faire confiance a cette beauté qu'il vient a peine de rencontrer et qui, de surcroit, est trop ressemblante a sa sombre personne?

Dans l'esprit de Léna passa une vision... Celle d'une célèbre meurtrière qui avait une facon de mettre a mort ses victimes bien particulière... On appelait cela "Le baiser de la veuve noire". Cette femme séduisait ses proies, et au moment de leur orgasme, les méttaient a mort en leur tranchant la gorge d'un seul tenant. Avec un sourire des plus démoniaques, des plus cruels, elle cessa tout mouvement et mit sa main sur les yeux de Zan...

Puis elle se pencha, et attrapa dans la poche de son pantalon le poignard de Rock, qu'elle avait discretement ramassé après le long combat. Revenant à sa position initiale, l'arme dans la main droite, elle en mit la lame glacée sur la gorge de son amant et reprends alors ses langoureux mouvements de hanches, en se penchant sur le corps de Zan, qui continue a gémir malgré le froid de cette arme blanche contre sa peau brulante...

La sensation du métal glacé sur sa gorge excite Zan au delà du raisonnable. Ah bon, elle veut jouer? Alors jouons la durement! Il lui agrippe le poignet tenant l'arme et, d'un mouvement vif, l'oblige a trancher la peau. Il arrête juste avant la jugulaire, ne désirant pas mourir non-plus. Un sourire carnassier et sadique se désine sur son visage et, une lueur tout aussi sadique et cruelle passe dans ses yeux... qui sont magnifique et caché par la main de Léna.

-Une lame est bien malheureuse si elle ne tranche pas. Tu ne crois pas? Es-tu prête a jouer le jeu jusqu'au bout ou bien vas-tu l'arrêter tout de suite?

Relâchant le poignet de la belle, il lui montre le bras gauche et passe l'index droit dessus, partant du poignet et arrêtant près de l'intérieur du coude. Par contre, pour montrer qu'il apprécie le jeu, il commence lui aussi a bouger les hanches en accord avec le rythme de sa douce conquête.

Zan attrapa brusquement le poignet de Léna, et la forca a trancher sa si belle peau, si douce... Son sourire si carnassier, si sauvage, ne peut qu'exciter Léna encore plus qu'elle ne l'est déjà, et elle regarde l'interieur de son bras gauche, qu'il est en train de lui montrer. Préférant jouer le jeu a sa maniere, elle se redresse et, alors qu'il mèle ses mouvements de hanches avec les siens, commence à entailler la peau du torse, pas assez fort pour le tuer, mais suffisamment pour lui faire mal...

"Si tu désire que je tranche...
Aucun souci..."

Dès que le dernier mot eut franchi ses si fines lèvres, la jeune femme enfonca la pointe de son arme dans la chair de Zan, d'environ deux ou trois centimètres, au niveau de l'épaule. Elle se pencha alors pour lécher le sang qui se mit lentement a couler de cette plaie fine mais profonde...

La lame sur sa peau augmente toujours plus l'excitation du moment, mais la douleur repousse la conclusion pour un temps. Le danger de terminer après si peu de temps étant écarté, Zan ne peut se retenir de frissonner et de gémir doucement quand Léna glisse la langue sur sa peau, a la hauteur de l'épaule, léchant son sang. Il lui prend la tête entre ces bras et l'attire encore plus contre lui, lui collant les lèvres de force contre cette plaie sanglante. La contraction des muscle de l'épaule lui propulse alors un jet chaud au fond de la bouche, directement dans la gorge et le jeune homme grogne de plaisir. Il lui prend ensuite la tête a deux mains et l'oblige a le regarder dans les yeux. Il embrasse ces lèvres ensanglantés avec délice avant d'y lécher son propre fluide vital avec appétit.

Le liquide vital de Zan continuait à s’écouler lentement dans la bouche de Léna. Soudain, un jet chaud et délicieux jaillit dans la gorge de cette derniere, un jet sanglant… Léchant et avalant ce sang avec avidité, comme affamée, elle eut un sursaut de plaisir. Zan l’attrapa alors soudainement, et l’embrassa, avec passion mais aussi avec douceur, léchant les lèvres si douces de sa jeune amie, couverte de son propre sang. La jeune femme plongea son regard dans celui de son compagnon, et y vit une âme aussi noire, aussi déchirée que la sienne.

Elle avait enfin trouvé quelqu’un qui lui ressemblait à l’extreme, comme un double, un frere, un jumeau… Comme une âme sœur…

Quand la jeune beauté plonge son regard dans le sien, Zan y voit un éclat étrange qu'il ne comprend pas. A l'intérieur de lui, il sait très bien ce que signifie cet éclat, cette découverte, ce soulagement intense, mais lui ne veut pas le voir ni le comprendre. Se redressant doucement, il enlace son amante avec douceur, peignant son corps blanc d'un éclat rouge vif. Il prend le poignet de Léna et lui retire avec douceur le poignard et plonge solennellement son regard dans le sien. Une lueur sérieuse et d'importance qui n'y apparait que très rarement est très visible dans ces yeux a se moment.

-Le sang est l'esprit et le pouvoir d'une personne. Boire le sang d'une personne, c'est prendre une partie d'elle a jamais en nous. Je suis maintenant a toi car je t'ai donné de mon sang. Je ne suis pas un animal, ni un objets bien sur, mais je serai la pour t'aider a te sortir de tes problèmes, pour te protéger quand tu n'auras pas chercher trop les ennuis, et même si tu les cherche si ta vie se retrouve en danger.

Il inspire profondément, une goute de sueur coule le long de sa tempe sous l'effort que lui demande une telle déclaration. Elle est une preuve de son sérieux et de l'importance de ce qu'il dit a ces propres yeux. Puis, dans un ton plus calme et poser que de normal, un ton très calculateur, plus froid que la banquise en hiver, un ton prouvant la réflexions derrière les mots;

-Je... te vois non pas comme une alliance éphémère, que je pourrais jeter aux quatre vents quand cela me plaie. C'est difficile pour moi de dire cela... Mais je crois que tu es la seule personne en ce monde pour qui j'arrive a éprouver de l'affection... Je ne crois pas que ce soit de l'amitié, car la description qu'on m'en a faite n'est pas comparable a ce que je traverse... Mais, je dois avouer que j'aime bien travailler avec toi, et que j'ai plus de plaisir avec toi qu'avec n'importe qui de mon passé...

Puis, lui tendant le poignard sans le moindre signe de menace;

-Dit moi, accepterais-tu de m'appartenir comme je t'appartiens?

Ces yeux trahissent un espoir intense, mais pas d'obligation. Peut-être a-t-il enfin trouvé quelqu'un qui l'accompagnera longtemps sur les routes de sa vie? Et cette fois-ci, pas un faible qui crèvera lamentablement après 2 semaines!

Alors que ses yeux parcouraient le visage si doux, si beau, de Zan, Léna écoutait avec attention ce qu'il lui disait. Le fait qu'il ne la considère pas comme une relation éphémère fit faire un léger bond à son coeur, cela lui procurant une sensation étrange... Elle tends la main et récupère le poignard qu'il lui donne, et en regarde la lame ensanglantée quelques secondes...

-Dit moi, accepterais-tu de m'appartenir comme je t'appartiens?

Avec un sourire plus doux que le Paradis lui même, Léna tends son autre main vers le visage de son ami, et le caresse du bout des doigts, dans une si tendre caresse... Son corps nu, si pâle et si beau, semble presque briller a la lueur du soleil qui entre par les murs de verre... S'asseyant sur le sol, sur ses genoux, elle lève le poignard et le pose sur sa gorge, juste au dessus de sa poitrine. Jetant un regard vers son ami, la jeune femme tranche d'un seul coup sa peau.

Au début, on ne voyait pas l'entaille mais, soudain, du sang se mit à en couler, et commenca a inonder le corps de la jolie Russe. Le bout de ses cheveux blonds doré trempe dans le sang, qui s'écoule de la plaie profonde.

Léna prit la main de Zan et la passa sur sa joue, avec tendresse. Elle est à présent prête a lui appartenir...

"Bois..."

Les yeux avide se posant sur la plaie sanglante, douce offrande, Zan continue de caresser la joue de Léna pendant un court instant. Puis, s'approchant doucement il l'embrasse avec douceur et tendresse en la serrant dans ces bras. Il lui murmure ensuite a l'oreille;

-Crois moi, cette offrande ne sera pas prise a la légère. Tu m'offre ton esprit et ta force et je l'accepte avec gratitude, comme tu l'as fait avec moi. Maintenant, ferme les yeux et laisse toi porter par l'instant... Je serai doux et tendre pour le rendre plus agréable...

A ces mots, il pause le bout de sa langue a la commissure et la glisse lentement vers la plaie de sa douce conquête. Il commence par doucement gouter a ce divin nectar de bout de la langue, puis il pose avidement les lèvres sur la plaies pour en prendre une bonne lampée. Puis, posant la main sur la plaie pour la refermée, ne voulant pas voir Léna défaillir, il l'ambrasse a nouveau avec fougue, mais tout en tendresse et en douceur.

Les doigts de Léna s'entrelacèrent avec ceux de Zan, se séparaient, s'unissaient de nouveau, comme une valse qu'orchestraient leurs deux mains... La jeune femme sentait son sang chaud couler, être aspiré par les lèvres de Zan. Elle ferma les yeux et s'enivra de la sensation d'ivresse, de faiblesse, que cela lui provoquait... Une si douce faiblesse..

Capturant la lèvre inferieure de Zan entre ses dents quand il l'embrassa, la jolie Russe eut un sourire, et le serra contre elle... Horrifiée, elle eut l'impression qu'une larme s'acharnait à vouloir couler de son oeil droit. Vive comme l'éclair, elle l'essuya discretement, sans perdre son sourire...

Remarquant la larme dans l'oeil de Léna, Zan ni porte pas attention. Il sent qu'il aurait bien besoin de pleurer lui aussi, mais il en est incapable et il ne se le permettrai pas pour tout l'or du monde. Plutôt que de la juger ou de la prendre en pitié, le jeune homme enlace sa tendre conquête avec la même tendresse et la même douceur dont il fait preuve depuis quelques instant. Il l'entraine sur lui en se couchant sur le dos, ne la libérant pas quand elle se retrouve couchée contre sa poitrine. Pour une première fois depuis longtemps, il se sent vraiment bien. La chaleur du corps de la jolie russe contre le sien, l'odeur de sa peau et de ces cheveux lui font tourner la tête et il se permet un de ces rares sourire de soulagement. Il reste ainsi, serrant Léna dans ces bras, nues tout les deux, couché dans l'herbe elle sur lui.

Allongée de tout son long sur le corps bien sculpté de son amant, Léna fit glisser sa main dans les cheveux de soie de Zan, et pose ensuite sa tête sur son épaule, ses longs cheveux blonds brillants dégoulinant sur l'épaule de celui ci, dans son cou et sa nuque... L'odeur qu'elle percoit est douce comme l'aube, et le regard dans lequel elle plonge intense comme l'aurore...

Doucement, la jeune femme se mit à parsemer le corps de son ami de baisers, commencant par en recouvrir son torse, puis son ventre, puis son membre encore tendu, le prenant ensuite en bouche, commencant des vas et viens...