Désir dévorant... dérangé??

Gémissant déjà sous les lèvres de la seule personne qu'il parvient a aimer, Zan essaie de lever le bras droit pour lui caresser les cheveux, mais la rage et l'adrénaline étant redescendu, il se retrouve a nouveau paralysé. Avant qu'il n'est eu le temps de réagir, Léna se retrouve a nouveau a s'amuser avec le sexe turgescent du jeune homme, lui arrachant un gémissement plus intense que les autres. Il lève alors la main gauche pour lui caresser les cheveux avec douceur.

Après un moment, il repousse doucement la jeune femme et, avec les difficultés de la paralysie, se redresse doucement. Il se penche vers l'avant et, tout en la poussant sur le dos, se couche sur elle en l'embrassant. Il commence ensuite, a son tour, a déposer de multiple baiser sur chaque centimètre de la poitrine et du ventre de cette jeune russe si belle qu'elle en damnerais un saint, s'attardant sur les pointes dressées et excitées qu'il suce et mordille avec délice. Puis, terminant bientôt sa descente, il se retrouve entre les cuisses blanche de son amante et s'applique a lui arracher les cris qu'il désire tellement entendre.

La langue de Zan lui procurait tant de bien, tant de plaisir, que Léna crut ne jamais pouvoir s'arreter de crier... Elle lui attrapa la tête et l'amena contre elle, se retrouvant avec tout son corps collé au sien, ce qui lui provoqua un délicieux frisson. Embrassant avec tendresse son doux amant, la jeune femme écarte légerement les cuisses et, dans un mouvement fluide, le fait entrer en elle lentement... Se mordant la lèvre inferieure, Léna pose sa bouche dans le cou de Zan, inspirant une longue bouffée de son odeur si agréable... Des mots lui brulaient les lèvres, mais elles ne pouvait se résoudre à les prononcer...

Rougissant, la jeune femme serre son compagnon contre elle, sentant de tout son être leurs deux peaus collées l'une a l'autre, se réchauffant mutuellement...

Les cris de Léna, se répercutant sur les parois transparente de la serre pour ainsi être amplifié, étaient musique aux oreilles du jeune homme. Lui qui avait pour habitude de faire des femmes ces choses et ces esclaves, le voila prêt a tout pour prolonger ces cris et les entendre a nouveau plus tard. Continuant d'œuvrer avec sa langue pour goûter toujours plus au divin nectar de sa douce conquête ainsi que de sa conquérante, il sent bientôt qu'elle l'entraine contre son corps pour l'embrasser avec tendresse. Zan lui rend ce baiser avec la même douceur et obtempère avec joie lorsqu'elle le fait entrer en elle.

Un frisson très intense le parcourt des pieds a la tête au moment ou elle l'embrasse dans le cou en inspirant profondément son odeur, et il sent alors, dans la légère tension de son corps, son embarras et son hésitation. Ni portant pas attention, il l'enlace avec force et passion avant d'augmenter légèrement la rapidité de ces coup de reins, pour lui changer les idées. Pour s'assurer du résultat de son action en elle, il plonge la tête dans son coup pour y déposer plusieurs baiser papillons au hasard, avant de glisser doucement la pointe de sa langue de l'intérieure de l'épaule jusqu'à l'oreille se sa merveilleuse amante, inspirant avec avidité l'odeur de sa peau et de ces cheveux.

Frissonnante, frémissante, Léna se découvrait plus humaine qu'elle ne l'avait jamais été... Son coeur battait la chamade, faisant penser à un troupeau de chevaux au grand galop, tout son corps semblait vibrer sous les coups de reins de son amant si sublime... Parcourant le visage de Zan de ses yeux, la jeune femme ne peut qu'en apprécier la beauté, la finesse des traits, la brillance de ses yeux... Subjuguée, Léna resta immobile quelques instants, ses grands yeux aussi bleus que la mer plongés dans ceux de son partenaire...

Reprenant se esprits, la jeune Russe le serra très fort contre elle et, là, à son grand désarroi, ses yeux se mirent à ruisseller de larmes. Etais ce des larmes de joie, de tristesse, d'amour, de douleur, de regret? Même elle ne le savait pas.... Tout ce qu'elle savait, était qu'elle désirait rester ainsi, rester dans les bras de son amant, jusqu'à ce que le monde s'écroule, jusqu'à ce que les murs de pierre s'effondrent autour d'eux, jusqu'à ce que le monde ne soit plus qu'un immense trou noir...

Relevant la tête pour regarder Zan dans les yeux, Léna essuie ses larmes et sourit, fermant ensuite les yeux...

Remarquant les yeux ruisselant de larme de Léna, notre jeune homme s'immobilise un moment. Il la regarde avec attention, avec une lueur incertaine dans le regard. Il sait qu'il ne lui fait pas mal, il sait qu'il est bon a l'entendre gémir doucement, il sait qu'il est plaisant a regarder car elle n'arrive pas a détacher les yeux de son visage et il se sent bien dans la situation, alors elle doit aussi se sentir bien. Mais pourquoi elle pleure? Puis elle essuie ces larmes et souris avant de fermer les yeux.

Zan voit pourtant un larme que la jeune femme a oublie, tout près des lèvres. Avant de reprendre son vas-et-viens en elle, il approche doucement le visage de celui de sa tendre amante et, du bout de la langue, couille délicatement cette goutte salé au goût si précieux. Il embrasse Léna avec douceur, avant de reprendre c'est entrés et sorties avec vigueur et enthousiasme, désirant rendre cette expérience, qu'il comprend libératrice pour elle, la plus plaisante et la plus intense possible. Il approche doucement de l'oreille de la magnifique russe et lui murmure avec tendresse;

-Tu sais, je pourrais surment tomber amoureux d'une fille comme toi...

Léna ne put s'empecher de frissonner au contact de la langue de Zan qui cueilla la derniere de ses larmes si honteuses. Quand il reprit ses mouvements langoureux, parfois violents, parfois tendres. Ce fut comme si quelque chose se brisait en Léna, quelque chose ressemblant à une barrière, qui libéra tout ses blocages, comme si elle devenait ce qu'elle avait toujours aspiré à être...

"Donne moi le temps...
D'apprendre ce que j'ai à apprendre.
Mais s'il est question d'amour, d'affection...
Mon coeur a ses raisons..."

Elle griffa son dos et se cambra sous la force de ses coups de reins...

Souriant intérieurement quand Léna parlais, Zan lui couvrait la gorge et les épaules de baiser doux et tendre. Il était fier de lui, une autre tombait sous son charme et sous ses capacités d'étalon. Étrangement, cette fois-ci, si fierté étais une fierté vide et plus douloureuse que les autres. Mais il n'y portais pas attention, les gens sont tous des traîtres a qui nous ne devons pas faire confiance, ils ne sont bons qu'a être utiliser.

*Mais... Pourquoi suis-je aussi tendre avec elle? Ce n'est qu'une fille comme les autres, une victime, quelqu'un de qui j'arrive a prendre le meilleur! Si je fais preuve de faiblesse, elle va me bouffer tout crue! Elle est aussi dangereuse que moi, je ne peux pas prendre de risque!*

Un léger trouble de fait sentir pendant quelques secondes pendant que Zan penses ainsi. Malgré ces pensées, par contre, il se fait de plus en plus doux, de plus en plus attentif au corps de rêves sous le sien. Ces mains caresses avec avidité chaque centimètre de cette peau si douce, s'émerveille de la douceur de ces cheveux magnifique. Il n'est pas prêt a s'avouer qu'il pourrait vraiment avoir des sentiments pour sa tendre conquête, mais il est prêt a rendre la fin de cette journée magique, et même plus encore.

Zéphyr avait mis un temps interminable à trouver un point d’observation adéquat. Il ne lui aurait fallu que quelques secondes s’il s’était agi des anciens bâtiments de la GEMR mais ce volcan lui était encore inconnu. Errant des les corridors, cherchant un passage intéressant vers la serre, il perdit de précieuse minutes durant lesquels il ne pouvait satisfaire sa curiosité. Il avait hâte de découvrir quel genre d’élève peuplait à présent la plus prestigieuse école de la planète. Le peu de temps qu’il avait passé a la cafétéria avec mes deux jeunes gens avait suffit pour lui montrer que toutes deux avait un caractère brulant, prompt a s’enflammer, le caractère qui forge les meilleurs, mais aussi qui meurt le plus vite …
Lorsqu’enfin il parvint à découvrir une petite corniche placé dans l’ombre surplombant la serre, il s’y installa confortablement et observa les jeunes amants. Son post d’observation était des plus avantageux : trop haut pour être atteint depuis le sol, suffisamment bas pour pouvoir descendre d’un saut bien amorti ; trop sombre pour pouvoir être vu mais suffisamment bien orienté pour pouvoir tout voir de ce qui se passait en contrebas.
Observant les deux élève en train de s’enlacer, il résista a l’envi de descendre pour voir leur réaction. En restant la, il s’assurait d’obtenir des informations qui pourrait lui servir un jour. Peut être aurait il besoin dans un avenir plus ou moins lointain de ces connaissances pour les faire chanter ou pour toute autre raison.

« Tu sais, je pourrais surement tomber amoureux d'une fille comme toi... »
« Donne-moi le temps...
D'apprendre ce que j'ai à apprendre.
Mais s'il est question d'amour, d'affection...
Mon cœur a ses raisons… »
*Tiens, et moi qui croyait que ce n’était qu’un jeu pour eux. Tout cela devient de plus en plus intéressant …*

Les mains de Zan parcourant son corps donnèrent à Léna une curieuse sensation. Jamais auparavant elle n'avait ressenti cela... D'ordinaire, les doigts qui passaient sur son corps ne lui donnaient rien de plus que du dégout et de la répulsion. Cependant, ceux de l'homme qui la touchait en cet instant, lui offraient un départ en premiere classe pour les étoiles qui brillaient au dessus de sa tête, à travers ses yeux brillants de larmes, de joie et d'affection...

La jeune femme repoussa cependant son jeune amant, jusqu'à ce que celui ci se retrouve debout. Debout face à lui, la jeune Russe eut un sourire diabolique. Se baissant brutalement, elle fit à son ami une balayette qui décolla ses pieds du sol, et il serait violemment tombé au sol si Léna, de toute la force de son bras gauche, ne l'avait rattrapé, ralentissant sa chute. Une fois que Zan fut au sol, sa compagne lui grimpa dessus sans sommation et le fit pénétrer en elle, sans douceur, avec toute la fougue de celle qui a enfin ce qu'elle désirait depuis des lustres...

Tout allais bien, ces mains découvrant le corps de sa divine partenaire, son odeur enivrante, sa voix, ses gémissement, ses larmes, sa violence, sa sensibilité, sa faiblesse, tout chez elle était craquant. Quand elle se mit a le repousser pour qu'il se lève, in ne comprend plus rien, il est perdu et incertain et fini par obtempéré a demi tétanisé par la surprise. Soudain, dans un balayage digne d'un maître des arts martiaux, il se retrouve dans ces bras quand elle stop sa chute. Puis sans rien dire, sans une caresse, sans préparation indispensable puisque qu'ils n,avait pas eu la moindre action avant, elle le chevauche avec un entrain vraiment magnifique a voir.

Pendant un moment, le temps de revenir de sa surprises, Zan ne bouge pas du tout. puis bientôt, il tend les mains vers la poitrine appétissante de la jeune russe et la caresse avec douceur et tendresse. Puis il lui pince les pointes et commence a les tordre de plus en plus, cherchant a lui faire mal pour décupler le plaisir qu'elle ressent, mais aussi en guise de mini-vengeance face a ce qu'elle lui a fait un peu plus tôt

La scène qui se déroulait sous les yeux de bibliothécaire était particulièrement étrange. Il était en effet difficile d’affirmer s’il s’agissait d’un rapport sexuel ou bien s’il s’agissait plutôt d’un combat … Cela étant, il était évident que les deux participants y prenaient un plaisir non dissimulé. L’aspect érotique le laissait de marbre : il n’avait jamais rencontré de partenaire potentiel en dehors de son travail et les seuls rapports de ce type qu’il avait eu n’avaient eu pour seul et unique objectif que de baisser la vigilance de la femme en question dans le but de mener un contra a son terme.
En revanche, le combat, c’était son monde. Bien qu’il se soit désormais interdit de tuer, il n’aimait rien plus que les affrontements de tout ordre. Loin d’être un fou furieux, il ne se battait souvent qu’après avoir tenté une méthode plus douce ou bien d’avoir accepté un contrat allant dans ce sens. Or, son contrat avec la GEMR ne stipulait pas qu’il devait prendre part au moindre combat … Mais précisait qu’il devait prendre part à la vie de l’établissement ! Etant donné la population relativement violente qui séjournait ici, il n’était pas difficile d’arriver à la conclusion que le contrat incitait au combat !
Apres en être arrivé à la conclusion qu’il était parfaitement en droit de s’impliquer personnellement dans le duel qui se déroulait sous ses yeux, Zéphyr mis la main dans l’une de ses nombreuses poches secrètes et en retira une sphère d’un centimètre de diamètre. Visant les deux amants, il n’hésita pas une seconde à lancer ce qui se révéla être une grenade flash. Profitant de la gerbe de lumière éblouissante, il sauta à terre et se réceptionna à l’aide d’une roulade en avant pour se retrouver debout et sans la moindre égratignure devant les jeunes gens.

« Bien le bonjour, je vous dérange peut être ? »

Sachant parfaitement que la grenade les avait aveuglé et que leur vu ne reviendrait que progressivement, il prit tout de même la peine d’ôter son couvre-chef pour les saluer.
Il ne fallait cependant pas oublier qu’il se trouvait à la GEMR, et que les uniformes qu’ils avaient laissés à la cafétéria étaient rouges, la couleur du combat ! Voulant éviter toute surprise, Zéphyr opta pour le meilleur compromis possible entre posture courtoise et garde de combat. Il n’aurait plus qu’à choisir laquelle adopter en fonction de la réaction de ces élèves.

La douleur et le plaisir qu'elle ressentait entre les mains de Zan furent vite occultés par ses reflexes, dès qu'elle vit la lumière éblouissante, sans doute provenant d'une grenade aveuglante, et par le léger bruit de chute qu'elle eut entendu vers sa gauche. Léna bondit sur ses pieds, malgré sa cécité momentanée, et attrapa son pantalon et son shorty, qu'elle enfila en quatrieme vitesse. Dressée de toute sa hauteur, elle attendait patiemment que sa vision revienne, quand elle entendit une voix retentir sous les parois de verre, une voix masculine...

« Bien le bonjour, je vous dérange peut être ? »

Quand les yeux de la jeune Russe se furent réhabitués à la vue normale, elle vit un homme, debout, face à elle, qu'elle fusilla du regard. Soudain, son regard se fit plus suave, plus séducteur...

"Un peu oui...
Mais tu devrais pouvoir te faire pardonner..." Lui sussura-t-elle d'un air entendu, assorti d'un léger clin d'oeil a Zan...

L'extase commence a montrer son nez au moment ou la grenade flash explosa. Léna bondit sur ces pieds sans perdre une seconde et Zan ne vit rien, complètement aveuglé par cette lumière éblouissante. Tâtonnant de la main gauche pour se repérer, frappant le sol de rage tout en grognant sa frustration, il se dresse de peine et de misère, la jambe gauche n'arrivant plus a rien.

« Bien le bonjour, je vous dérange peut être ? »

"Un peu oui...
Mais tu devrais pouvoir te faire pardonner..."

Ouvrant et fermant les yeux pour retrouver la vue le plus rapidement possible. Il découvre donc un homme un peu plus âge qu'eux, mais rien de dramatique. Il se souvient alors qu'il s'agit du bibliothécaire!

-Zephyr? Vous êtes bien Zephyr le bibliothécaire? Mais quelle bonne surprise! Je ne pensais pas vous revoir aussitôt! Je comptais justement aller visiter la bibliothèque de ce merveilleux établissement pendant ma convalescence! Mais bien sur qu'il se fera pardonner! Il ne peut pas nous faire un coup pareil et partir sans se joindre a nous!

Un sourire vicieux et intéressé apparait sur les lèvre de Zan.

[HRP désolé si je prends du temps pour répondre ces temps si, je vais rendre visite a ma mère a l'hopital]

Sous l’effet de la grenade flash, les deux jeunes gens avaient immédiatement stoppé leurs ébats pour se concentrer sur le perturbateur. La jeune fille récupéra d’abord ses vêtements avant, Zéphyr en était étonné, de le tutoyer et de l’inciter a ce faire pardonner. De son coté, le jeune homme mis un certain temps avant de recouvrer la vu ; mais lorsqu’il le fit, il reconnu immédiatement Zéphyr pour l’avoir croisé plus tôt dans la journée. Tout comme sa compagne, il réclamait un dédommagement, mais cette fois en donnant des détails qui ne convenaient pas tout à fait au bibliothécaire.

« Qu’entendez-vous par vous rejoindre, jeune homme ? Si vous faites allusions à vos ébats, sachez que je ne suis pas le genre d’homme qui désire des enfants. Je suis ici en premier lieu pour admirer la partir martiale de votre relation. Si vous recherchez plus que cela en moi, je vous conseil vivement de recourir a quelqu’un d’autre ! »

Peut être avait il été présomptueux de s’introduire comme cela dans la serre. Bien que, pour un raison qui lui restait inconnu, il avait tenu à les rejoindre, il commençait presque à le regretter. Il n’était surement pas encore trop tard pour se retirer avant que les choses ne tournent à son désavantage !
Dans le pire des cas, deux étudiant ne serais pas de taille contre un ancien professeur, qui plus est quand ce dernier est armé jusqu’aux dents. Il tenterait pourtant de ne pas avoir à les utiliser tant que sa vie, ou son honneur, ne serait pas en jeu. Mais même dans ce cas extrême, il ne se résoudrait pas a tuer. Pas encore …

"Qui a dit que j'étais une mere porteuse?
On ne veut pas d'enfants, beurk!!
Nous parlons d'amusement, mon ami..."

Le regard et le sourire de Léna se firent plus mysterieux, plus sensuels... Elle s'approcha à pas lents, déhanchés, jusqu'à atteindre Zephyr. Elle leva la main jusqu'au cou de celui ci, et l'agrippa fermement... Avant de relacher sa prise et de faire glisser ses longs ongles vernis, de la nuque à la pomme d'Adam...

"Tu ne le regretteras pas....
Bibliothèquaire..." Acheva la jolie Russe avec un sourire énigmatique...

Écoutant avec attention les propos de Zephyr, Zan ne peut s'empêcher d'éclater d'un rire franc et sincère, ce qui lui arrive très rarement. S'approchant a son tour pendant que Léna répond de cette façon si juste au bibliothécaire, il se colle contre son dos toujours nu, posant ces mains sur les seins si doux de la jeune femme et lui murmure a l'oreille d'un ton mielleux et légèrement moqueur;

-Allons, ma chère. Tu vois bien qui est incapable de nous rejoindre et ce, non seulement par manque d'envie. Regarde le, a son âge, la volonté doit y être, mais le corps ne doit pas vouloir suivre le rythme. Laissons le observer, s'il est capable de nous rejoindre par la suite, il le fera de lui-même.

A ces mots, il fait doucement glisser ses mains dans le pantalon de la belle, ainsi que dans le shorty. L'une a l'avant lui caressant son bourgeons sensible, l'autre a l'arrière, caressant l'orifice caché. Il lui mort doucement l'intérieur de l'épaule en même temps, en fixant Zephyr dans les yeux dans un regard invitant.

Apres une suite d’arguments pour le moins sommaire, les deux jeunes gens reprirent leur activité avec autant d’entrain. Finalement, Zéphyr ne les avait pas dérangés outre mesure. Peut être s’était il trompé et les deux élèves n’avaient pour l’instant rien a lui apporter ? Il ne fallait cependant pas faire de conclusions hâtives, l’intérêt viendrait plus tard !

« Veuillez m’excuser, mais je me dois de vous contredire jeune homme. Mon corps est parfaitement en état de subit n’importe quel exercice physique que votre esprit, sans doute fertile, pourrait imaginer. C’est au contraire l’envi qui manque. Cela fait bien longtemps que je n’ai pas partager le lit d’une femme pour autre chose que lui soutirer des informations et ne me sent pas l’envi de revenir en arrière. Si vous voulez bien m’excuser, je vais m’installer plus confortablement en attendant que vous ayez fini. »

Sans attendre de réponse de la part des deux amants, Zéphyr leur tourna le dos et alla s’assoir contre le tronc d’un grand cerisier qui trônait au centre de la serre. Sortant l’un de ses pistolets, il entreprit de le démonter consciencieusement, prenant soin de chaque pièce. Chaque élément retiré de l’ensemble subissait alors un analyse minutieuse suivit d’un nettoyage complet. En effet, en bon professionnel, le bibliothécaire avait toujours sur lui de quoi garantir la perfection de son équipement.

Directrice Nombre de messages : 109 Age : 37 Date d'inscription : 04/01/2009

Émilia, qui venait de terminer de classer une partie de la paperasse dans son bureau se dit qu'il vallait mieux prendre une petite pause et changer d'air un peu. Quel meilleur air que celui où les plantes le renouvle constamment ? Elle se rendit donc à la serre où elle vit Zéphyr en train de démonter son arme pour la nettoyer. S'approchant doucement dans sa démarche élégante, elle prit appui sur l'arbre avant d'aborder le biliothécaire de sa voix douce ;

- Toujours voir au bon soin de son équipement. Notre arme est notre meilleur allié. Si on n'en prends pas soin, il peut nous lâcher au moment où on en aura le plus besoin...

Puis, lui souriante elle ajouta ;

- Ça ne vous ennuie pas de faire ça dans leurs bruits d'étreinte charnelle ?Certains seraient embarassés par une telle situation...

Alors qu’il était afférer à remettre son arme en état, Zéphyr senti plus qu’il ne vit quelqu’un approcher. Elle marchait probablement en ce moment même sur les pavés de l’allée se trouvant juste de l’autre coté de la haie de rosier, derrière l’arbre contre lequel il était installé. S’interrompant un instant, il porta tous ses sens dans cette direction pour comprendre de qui il s’agissait.
D’après le claquement sur le pavé, il s’agissait surement de chaussure de femme. L’allure des pas semblait indiquer qu’elle connaissait les lieux et ne cherchait pas son chemin, mais qu’elle n’était pas pressée pour autant. La direction … l’individu venait de l’aile administrative, il s’agissait donc vraisemblablement d’un membre du personnelle.
Lorsqu’elle parvint enfin à une ouverture et qu’elle la franchit, Zéphyr put enfin découvrir la directrice de l’établissement. Celle-ci se dirigea vers son arbre avant de lui adresser quelques mots.

« Toujours voir au bon soin de son équipement. Notre arme est notre meilleur allié. Si on n'en prend pas soin, il peut nous lâcher au moment où on en aura le plus besoin... Ça ne vous ennuie pas de faire ça dans leurs bruits d'étreinte charnelle ? Certains seraient embarrassés par une telle situation... »

Glissant le chargeur dans la crosse de l’arme, le bibliothécaire se releva ; Il en avait fini avec l’entretient.
Hottant son chapeau en signe de respect, il s’inclina très légèrement devant son employeuse et attendit quelques brefs instants avant de répondre.

« Ne vous en faites pas pour moi, mademoiselle Brown, un bon professionnel n’est plus embarrassé par grand-chose. En revanche, j’ignorais que vous aviez un certain intérêt pour les armes ; Je ne me rappel pas avoir lu que vous ayez manifesté un tel attrait. Mais je m’égare, votre vie ne me regarde pas. Puis-je vous être utile a quoi que ce soit ? »

Ayant porté toute son attention sur la nouvelle arrivante, Zéphyr avait commis une grave faute professionnelle : il avait négligé les deux jeunes gens. Quoi qu’ils aient fait pendant ce court laps de temps, il ne leur avait pas porté la moindre attention. S’en rendant soudain compte, il dirigea rapidement son regard vers eux pour voir si rien n’avait changé.

Directrice Nombre de messages : 109 Age : 37 Date d'inscription : 04/01/2009

Le regard amusé, elle répondit au bibliothécaire qui s'interrogeait sur sa connaissance des armes à feu ;

- J'ai quelques vagues connaissances de base en ce qui concerne les armes à feu. Je ne suis pas aussi qualifiée que vous pour ce qui est de monter et démonter n'importe quel type d'armes, mais j'ai aumoins 3 types d'armes à mon actif dont je sais aumoins quelques trucs, donc particulièrement comment les utiliser. J'ai même surveillé des gamins pendant qu'ils apprenaient à s'en servir, donné des cours... bref... vraiment... la base...

Elle reconnut que sa question sur le dérangement était futile et qu'elle aurait pû être évitée. Néanmoins, elle donnait une touche humoristique au discours.

Après plusieurs minutes d'ébats doux mais sauvages avec Zan, Léna s'était discretement rhabillée et glissée sans un bruit auprès de Zephyr et Emilia. Dans un raclement de gorge, la jeune femme se fit remarquer. Avec un sourire, la jolie russe admira l'arme magnifique du bibliothéquaire et, tendant la main, effleura le métal glacé qui brillait sous la lumière crue de la serre.

Sous le regard des deux jeunes gens, Léna salua Emilia de la tête puis jeta un regard pénétrant à Zephyr.

"Ne vous en faites pas pour Zan.
Avec ce que je lui ai fait, il restera inconscient un long moment...."

Lorsque la jeune fille effleura son arme, Zéphyr ne fit pas un geste mais garda les yeux rivé sur celle-ci. C’était son outil de travail, et il ne pouvait en aucun cas se permettre la moindre détérioration.

« Si je peux me permettre, jeune fille, c’est vous qui risquez de rester inconsciente un long moment si vous vous avisez de toucher une nouvelle fois mon matériel sans mon accord. Je suis navré d’en arriver a ces extrémités, si mes souvenir son exacte, vous êtes la pour apprendre, et ma première leçon s’intitule "Ne pas toucher aux armes d’autrui" . »

Se souvenant soudain qu’il n’était plus a proprement parlé un enseignant mais un simple bibliothécaire, Zéphyr stoppa net son argumentation et se tourna vers son employeuse.

« Je crains d’avoir outrepassé mes fonctions, veuillez m’en excuser. Cela ne se renouvellera pas. Je vais d’ailleurs, si vous le permettez, me retirer dans mes quartiers le temps de remettre les choses au clair. »

Attendant le moindre signe lui indiquant qu’il était autorisé à partir, le bibliothécaire en profita pour ranger tout son matériel en lieu sur dans divers poches. Il devrait êtres plus attentif à présent.

Directrice Nombre de messages : 109 Age : 37 Date d'inscription : 04/01/2009

Émilia hocha la tête pour saluer Léna et la regarda faire alors qu'elle voyait le bibliothécaire devenir quelque peu tendu.

« Si je peux me permettre, jeune fille, c’est vous qui risquez de rester inconsciente un long moment si vous vous avisez de toucher une nouvelle fois mon matériel sans mon accord. Je suis navré d’en arriver a ces extrémités, si mes souvenir son exacte, vous êtes la pour apprendre, et ma première leçon s’intitule "Ne pas toucher aux armes d’autrui" . »

Les propos avaient été dictés sur un ton ferme mais plutôt calme. Émilia, qui en avait presque oublié à quel point il pouvait être méticuleux quant à ses armes et voyant son embaras émit un sourire.

« Je crains d’avoir outrepassé mes fonctions, veuillez m’en excuser. Cela ne se renouvellera pas. Je vais d’ailleurs, si vous le permettez, me retirer dans mes quartiers le temps de remettre les choses au clair. »

Ne vous souciez pas de cela Zéphyr, vous avez tout droit sur vos armes, tant que vous ne tuez personne. D'ailleurs, je suis ravie de voir que vous n'avez rien perdu de vos vieilles habitudes. Ainsi donc cette chère Raven ne m'avait pas raconté d'histoires avant votre arrivée ici. Je suis heureuse de voir que ces dernières sont vraies...