Intrusion dans la chambre... [Pv - Zan et Howard]

Zan marche dans les couloirs au hasard. Suivant la carte que Oracle lui montre ainsi que les indication qu’elle donne sur la disposition des pièces et les meilleurs chemin a prendre. Il en vient a se retrouver dans le secteur des chambres du personnel. Il regarde les noms sur les portes. Deux attirent sont attention, il commence par aller frapper a la porte de monsieur Howard, puis comme il n’a pas de réponse, se dirige vers la seconde porte. De la lumière sous la porte, donc il doit y avoir une présence. Il frappe doucement a la porte.

-Excusez moi, madame la directrice, mais j’aurais un besoin urgent de vous parler. Puis-je me permettre de vous importuner un moment de ma sombre présence ou dois-je attendre demain?

La directrice venait à peine de fermer l'oeil lorsqu'elle entendit frapper à la porte.

- Entrez, entrez... dit-elle en se dirigeant vers la porte pour l'ouvrir.

Ses cheveux étaient encore humides et quelques goûtes d'eau en tombaient de temps à autres ajoutant un reflet à la peau de cette dernière. Elle ouvrit la porte pour y voir Zan. Comme il faisait moin chaud que sous ses couvertures, elle eut un frisson...

- Comment puis-je vous aider ? demanda-t'elle quelque peu intriguée par la présence de ce dernier à sa chambre alors qu'il devrait normalement dormir. Peut-être avait-il quelque chose d'important à raconter... Qui sait ?

La jeune femme ne voyait que très rarement des élèves se présenter à sa chambre pour demander à parler alors elle se demanda s'il ne sagissait pas d'une urgence quelqu'elle soit...

-Oh! Je vous dérange au moment ou vous sortez de la douche! Veuillez me pardonner, ce n’étais pas mon intention!

Une leur de franche gêne passe dans les yeux du jeune homme. Du moins, aussi franche qu’il est apte a la mimer. Très intéressé par la vision s’offrant a lui, il ne regrette absolument rien de son dérangement a cette heure et se promet de repasser parfois. Il plonge ensuite le regard dans celui d’Émilia et avec une expression de regret parfaitement feint, il s’incline respectueusement, ayant ainsi une vue plus directe sur les seins très peu caché de la directrice, avant de se redresser et de dire d’une voix gênée.

-Je vous prie a nouveau de me pardonner, je repasserai demain. Je crois que je peux attendre jusque la... Même si le plus tôt serais le mieux...

Puis il fait mine de partir, attendant de voir la réaction de la directrice dans son dos.

- Zan... Revenez ici... dit-elle d'un ton de voix calme.

- Racontez-moi ce qui se passe... Vous devez avoir une raison pour frapper comme ça à 1h du matin à la porte de ma chambre... Allez... j'attends...

Elle était consciente qu'elle était en nuisette et que son dossier expliquait clairement qu'il avait violé de jeunes femmes, pour la plupart plus jeunes que lui, mais elle ne croyait pas qu'elle risquait quelque chose. Après tout, avec le nombre de gardes présent dans l'établissement, jamais elle croirait ne pas être en sécurité... Il avait l'air espiègle, malgré ses petits airs angéliques... Pourtant, il était convainquant... Elle s'en voulait presque de le faire revenir pour qu'il raconte ce qu'il avait à dire... Elle attendit qu'il revienne vers elle.

Un sourire carnassier et satisfait éclaire un instant le visage du jeune homme avant de disparaitre aussitôt, pendant qu’il se retourne et avance vers la directrice avec un feint air de gratitude. Il la remercie d’un mouvement de la tête avant de ce lancer.

-Et bien, je crois avoir un urgent besoin d’aide face a une situation très... Sensible dans laquelle je me retrouve en ce moment. Mais avant de mieux m’expliquer, il y a une question importante que je dois vous poser... Puisque vous êtes la directrice, vous devez savoir ce que tout le personnel de cet établissement fait, du moins tout ce qui est officiel. Alors, j’aimerais savoir si c’est vous qui avez envoilé le militaire me menacer tout a l’air pour ma conduite... Car il y a eu des menaces face a ma vie et je dois avouer que je suis plutôt mal a l’aise a l’idée qu’une crise de ma part mérite tel châtiment...

Puis, comme s’il s’apercevait soudainement de ce qu’il disait, un air de terreur passe sur le visage du garçon qui refait une révérence, restant penché cette fois.

-Je... Pardon! Je ne voulais pas vous accuser ni vous importuner avec quelque chose d’aussi peu important!

Puis, il reste la sans bouger, gardant l’air apeurer bien graver sur son visage.

Elle l'écouta avec un air confu.

- Eh bien, je ne me souviens pas d'avoir entendu parler d'un militaire qui a fait des menaces sur votre vie... mais effectivement, j'en sais assez sur le personnel de l'école pour savoir que certains de nos employés savent être très ... persuasifs... et pour connaître leurs habiletés... Voudriez-vous entrer et en discuter ? Je ne crois pas qu'un couloir soit le meilleur endroit pour discuter de ce genre de choses Zan... surtout si le dit militaire passe et vous entends. Mais... entrez... ça vaudra mieux pour discuter que ce couloir frisquet.

Elle le regarda un instant... puis entra dans sa chambre en laissant la porte entre-ouverte pour qu'il entre et attendit de voir si ce dernier voulait vraiment discuter ou bien s'il préférait errer dans le couloir...

Se redressant lentement, Zan pousse la porte de la chambre de la directrice, ce glisse a l’intérieur et lui jette un franc regard de gratitude. Il n’avait, après tout, pas envie de revenir plus tard pour lui extorquer des informations sur son adjoins. Après avoir franchis la porte, il fait mine de jeter un coup d’œil apeurer a l’extérieur voir si le militaire ne serais pas dans les alentours. Puis il ferme la porte sans bruit et se retourne vers la directrice.

-Merci de m’inviter a entrer. Persuasif? Veillez pardonner ma franchise, mais avec toute la persuasion du monde, je ne pourrais contrôler ces crises. Ce serais exactement comme me demander de me suicider en retenant mon souffle. Ou plus difficile encore, ne pas réagir devant une belle femme.

Puis, commençant a jouer avec son index droit, dans un mouvement calculer pour montrer une nervosité et une gêne intense, se dandinant d’une jambe a l’autre. Penchant la tête un peu pour accentué l’effet de gêne.

-Désolé... C’était déplacé de ma part... Je ne voulais rien insinué par la...

La jeune femme était à la fois flattée par le compliment qu'il lui faisait et déstabilisée par les détails qu'il venait de mentionner par rapport à ses crises.

- Hmm... eh bien... il se trouve que vous n'êtes pas le premier à faire ce genre de crises et que l'autre personne est présentement sous médicaments. Il gère très bien ses crises pour le moment... Nous pensons que ce traitement sera efficace dans votre cas...

La porte étant fermée, la directrice se dirigea vers la table de chevet où elle y prit un verre qu'elle remplit d'eau avec la caraffe. Elle se sentait quelque peu intimidée par la présence de ce dernier. Pourquoi était-il si... vulnérable tout d'un coup ? Elle n'était pas certaine de comprendre...

-Vous savez, il n’est pas toujours facile de jouer les dur... C’est même parfois franchement difficile après un certain temps... Mais je sens que je peux agir normalement devant vous...

Zan s’assoit sur le sol, contre la porte, replis les genoux contre son torse, les entours de ses bras et y pose son front. Dans un mouvement imperceptible, il sort du bout des doigts la couteau de sa botte et continue d’une voix faible, étranglé comme s’il pleurait.

-Cet endroit me fait peur... Je n’ai jamais demandé a être ici et... On me... On me... Menace pour une chose qui n’est pas de ma faute... Je me sens... Si seul... Je veux retourner a Montréal...

Serrant ses genoux de ses bras, il raffermie sa prise sur l’arme.

En entendant ce dernier avouer qu'il n'était pas toujours facile de jouer les durs, la directrice se sentit d'avantage en confiance. Cependant, le voir comme ça le jeune homme se recroqueviller sur lui-même... La directrice commençait à se demander si ce dernier était vraiment... heureux en ces lieux. Aussi, elle s'approcha de lui dans l'espoir de le rassurer. Elle s'agenouilla près de lui et dit ;

- Vous savez, vous avez un potentiel immence ici. Comme peu d'élèves d'ailleurs... Mais si vous me disiez exactement quel genre de menaces on vous a fait... peut-être qu'alors, je pourrais faire quelque chose...

Elle n'avait pas l'habitude de poser ses mains sur ses élèves, mais elle mit une main sur son épaule pour tenter de le rassurer...

Aussitôt que la directrice lui met la main sur l’épaule, Rapace relève la tête avec un sourire mauvais et carnassier , lui prend le poignet de la main gauche, le retourne d’un mouvement rapide pour la retourner dos a lui. Il écarte les jambes pour l’assoir contre lui et la tenir a la taille, relâche son poignet pour la bâillonner de la main avant qu’elle ne crie et lui met la lame sous la gorge avant de lui murmurer a l’oreille;

-Ma chère, je ne vous crollais pas, malgré votre grande beauté, aussi naïve. Je suis ici non? Vous m’avez envoilé pour le meurtre et le viol de cette richarde non? Vous pensiez vraiment que je serais assez faible pour me sentir ainsi?

Puis sentant Émila dans le cou avant de la lécher de l’intérieur de l’épaule a l’arrière de l’oreille, il la relâche, range la lame et se lève.

-Votre odeur est vraiment alléchante ma chère, et votre peau si douce... Par contre, je n’ai pas envie de vous violer. Voulez-vous que je partes?

Un air de défi brille dans ces yeux, et il lui tend gracieusement une main pour l’aider a se relever, glissant l’autre dans son dos comme un majordome, mais glissant le petit doigt a l’intérieur d’un des bracelet des menottes que Raven lui a confier et qui pourrais bien se révéler utile. Puis fixant la femme dans les yeux avec un regard rieur;

-J’espère ne pas vous avoir fait trop mal, mais, est-ce que je mérite ma place ici?

-Ah mais, quel dommage que vous replaciez ce charmant vêtement, il était plus intéressant avant. Mais dites moi, vous n’avez pas répondu a aucune de mes deux questions... Est-ce une invitation a rester un moment? Ou est-ce autre chose? Et, pour la douleur, je peux en prendre!

Avec un clin d’œil malicieux, il fait une révérence sincère cette fois, lui prend la main et pose un doux baiser sur le dessus de celle-ci. Il se redresse ensuite sans lui lâcher la main, la fixe dans les yeux et d’on ton mielleux a souhait;

-A votre service pour cette nuit! Je suis au service de ce que vous me demanderai!

Et ce, même s’il n’a, évidemment pas l’intention de rester a son service toute la nuit, mais d’en faire sa servante pendant une partie de celle-ci.

- Hmm... une invitation à rester un moment ? Haha... vous vous prenez vraiment au sérieux ? lui demanda-t'elle intriguée et amusée à la fois...

Le fait de le voir malicieusement serviable en était à la fois ironique et charmant. La jeune femme aux cheveux rouges en était à la fois touchée et intriguée. Elle n'avait pas l'habitude de se faire offrir d'avoir un "esclave" et cette offre n'était qu'un peu embêtante. Néanmoins, elle lui sourit. Comment faire autrement ? La scène n'en était que trop drôle. Zan était le premier élève à se faire soumis devant elle à ce point. Elle en venait à se demander jusqu'où il irrait... bien qu'il puisse ne sagir que d'un jeu et que ses tendances pouvaient prendre l'avantage sur son comportement actuel...

-Quoi? Sous-estimeriez-vous la jeunesse? Je suis très sérieux madame, et ce, malheureusement, ce révélerais fatal a ma réputation! Voulez-vous un massage de pied, d’épaule, intégrale? Dois-je me coucher a vos pieds et les lécher? Voulez-vous tester jusqu’ou j’irais? Ne vous gênez pas, pour cette nuit, je suis votre esclave. Et vue que je suis jaune, je pourrai tenir toute la nuit a faire n’importe quoi! N’êtes-vous pas curieuse de voir ce que c’est? Ou comment je suis dans certaines situations?

Avec un sourire mielleux, il refait une révérence de servant, mais surtout pour bien cacher la paire de menotte qu’il ne voudrait pas voir ce retourner contre lui, puisqu’il a une idée pour plus tard.

- Mon travail est de diriger cet établissement. Votre offre est bien tentante, cependant, je n'aime pas avoir d'esclaves...

Des pensées quelque peu perverses vinrent à l'esprit de la jeune femme. Elle sentait des lèvres sur son cou, sa nuque... Sensations qui lui donnèrent un léger frisson d'exitation. À vrai dire, elle aimait plutôt être dominée que de dominer le sexe opposé. Cette gratuité de la part du jeune homme ne la rendait pas insensible, mais comme elle n'était pas du genre à entretenir l'esclavage... Elle ne cèderait pas.

- Je ne peux accepter votre offre Zan. Je me refuse à vous prendre pour esclave... ce serait trop... inhabituel de votre part et cela pourrait nuire à vos études...

Sortant les menottes de son pantalon pour les faire tourner autour de son index avec un rictus amusé et intéressé sur le visage, il lui lance un regard insistant et lui dit avec un ton dangereusement bas;

-Et si moi je vous prenais comme esclave pour cette nuit? Est-ce que ce serrais mieux pour mes études? Serais-ce plus habituel de ma part? Et moi, je dois avouer que m’offrir comme je l’ai fait a vous, je ne peux plus partir ainsi, a moins de vouloir passer une nuit difficile. Et je le voie dans vos yeux, vous êtes vraiment tentez, alors pourquoi refuser?

Approchant doucement d’Émilia, il glisse un baiser rapide a la jouxture de l’épaule et de la gorge, tout en se collant contre elle pour voir ça réaction.

Émilia sens son coeur battre rapidement mais reste froide. Une vague d'exitation s'empare intensément d'elle, tant et si bien qu'elle ferme les yeux pendant deux secondes, histoire de reprendre ses esprits et chasser ses images de sa tête.

- Je ne suis pas du genre à me laisser dominer. Vous êtes tombé sur la mauvaise victime Zan... dit-elle en espérant se convaincre elle-même.

S'il voulait une esclave, il devrait s'en montrer digne... et encore... elle ne s'abandonnerait pas si facilement... surtout à ce jeune homme qui jouait avec les mots tout aussi bien qu'avec les pensées...

- Ce n'est d'ailleurs pas seulement une question d'habitudes ou d'études... Je ne voudrais pas compromettre votre formation en vous offrant quelque chose que vous ne devriez pas avoir... Des excuses ô combien pittoresques pour éviter de s'avouer vaincue...

Sentant la pouls de la femme augmenter contre ces lèvres, dans le creux de son épaule, le jeune homme la serre dans ces bras et lui mordille doucement du creux de l’épaule jusqu’a l’oreille ou il lui souffle d’un ton mielleux;

-Je ne vous crois paaaaaasssss. Votre cœur dit le contraire de votre bouche. *Il lui lèche l’intérieur de l’oreille pendant un instant, puis reprend d’une voix tout aussi mielleuse* Vous avez vraiment une odeur alléchante, et votre corps m’appelle de tout votre être...

Glissant doucement une main le long du dos de la belle, Zan approche doucement son visage du sien pour l’embrasser avec douceur, tout en glissant son autre main dans ses cheveux.

La température corporelle d'Émilia devenait de plus en plus bouillante. Cette dernière commençait peu à peu à perdre le contrôle de son être. Voulait-elle lutter ? Peut-être... Le devait-elle ? Sûrement... Émilia le laissa faire, elle était à la fois entre la confusion et le désir. Elle voulait se laisser aller mais en même temps, elle ne pouvait s'y résoudre... Zan était un élève... Le baiser de Zan emplifia l'intensité de la flâmme qui brûlait en elle. Elle ignorait combien de temps elle allait pouvoir tenir encore pour résister à ses avances. Résister ou se laisser aller étaient pourtant deux options très simples... Elle n'arrivait pas à trancher. Elle fit un léger mouvement de recul mais elle sentait la main dans ses cheveux qui se dirigeait derrière sa nuque.

- Zan... Zan... Je...

Dit-elle alors que sa propre respiration commençait à s'accélérer. La voilà qui était pratiquement incapable de prononcer le moindre mot. Elle ferma les yeux... entre les deux décisions, laquelle prendre ?

Ne lui laissant pas le temps de terminer ça phrase, Zan l’embrasse plus fougueusement cette fois. Sa main dans son dos s’aventure sur les fesses de la directrice pendant une seconde avant de remonter paresseusement dans son dos. De son autre main, il lui caresse le visage avec tendresse avant de glisser le long de sa gorge, puis sur l’épaule, poursuivant sur le seins droit, jouant un instant avec le mamelon déjà dur et dressé, pour terminer sa course sur son ventre. Il lui dit alors d’une voie tremblante et mielleuse a la fois;

-Une nuit de délice vous fait-elle peur a se point? J’ai beau n’être qu’un élève ici, en ce moment, nous sommes simplement deux personnes aillant envie l’un de l’autre, est-ce si effrayant? Vous en avez envie, abandonnez-vous pour cette nuit, personne ne le saura.

Puis il commence doucement a l’entrainer vers le lit qu’elle occupait quelque instant plus tôt en lui mordillant doucement la commissure des lèvres, la serrant contre lui.

- Zan... Je... hmm... Je ne devrais pas... Ce... Nous pourrions avoir des ennuis...

Tenta de dire la directrice alors que les caresses de ce dernier se faisaient de plus en plus insistantes. Elle le suivait vers le lit, attirée comme un papillon vers la lumière. Elle ressentait là un désir tellement intense que sa résistance était presque abbatue. C'est alors qu'elle eut un mouvement de recul.

- Zan..

Elle hésitait à lui dire non, de peur que ça accentue son désir de violence. Elle éprouvait un désir si intense qu'il lui était difficile de garder les yeux ouverts. Elle tenta sans forcer de se dégager de son étreinte. Elle avait à la fois peur que ce dernier ne se rebelle mais était à la fois exitée de par la situation déroutante...

Au moment ou elle recule, Zan voit l’envie intense dans ces yeux... Et aussi la peur. Il la comprend aussitôt et pendant une seconde, réfléchis a savoir s’il tirera profit de sa peur ou pas. Puis, conclut que violer la directrice pourrait ce révéler très dangereux et néfaste pour lui, il choisit de ne pas l’utiliser, mais d’user au maximum de ses charmes. Il la regarde avec douceur dans les yeux, un regard tendre et franc, puis il laisse échapper un doux rire tranchant énormément avec ses rires habituelle. Il prend doucement ça main et la porte a sa bouche, y déposant un baiser tendre et prometteur.

-Je ne veux pas vous forcer la main, mais personne ne saura, alors nous n’aurons pas d’ennuis. *Lui caressant la joue avec douceur et tendresse* Mais si vous voulez un gars rude je peux facilement vous satisfaire. Si vous rêvez de tendresse, vous serez la première avec qui je l’aurez été. Je ne veux pas vous y obliger...

Il l’enlace a nouveau et se promet de quitter la pièce si elle lui demande, car il sent son envie d’elle devenir de plus en plus irrésistible, le rendant dangereux. Il pose encore un doux baiser sur ses lèvres et la regarde dans les yeux.

-Si vous voulez sincèrement que je parte, je partirai. Vous connaissez mon dossier, vous savez ce qui risque d’arriver si je ne pars pas a temps, alors, prenez vite une décision, car je n’ai pas envie de la voir venir trop tard...

Émilia perçevait à la fois tellement de douceur dans les gestes du jeune homme mais à la fois, il avait mentionné quelque chose qui la fit réfléchir un instant. Il venait de mentionner quelque chose qu'elle jugeait à ce moment là encore trop incompréhensible. Elle ignorait ce qu'elle devait faire.

- À... à moins de réussir à me maîtriser, je crains que vous n'obteniez ce que vous souhaitez... dit-elle à la fois avec un regard de défi et de désir intense. Elle était trop partagée entre son désir et sa peur pour prendre une décision précise alors autant l'avouer... La seule raison qui faisait qu'il était encore là était son dossier.

- Je... je ne suis pas de celles qui prennent esclaves parce que je suis de celles qui aiment souffrir... avoua-t'elle enfin... Voilà... vous savez maintenant...