Arrivée dans la chambre

Ouvrant la porte et entrant sans regarder la décoration, Alicia repère malgré tout les lieux. L’emplacement des meubles, des lits, des fenêtres, les portes. Le lit est simple? Dommage mais pas dramatique. Si elle parviens a attirer un beau jeune homme, ils n’en seront que plus près... Dans tous les sens du terme. Elle se tourne ensuite vers son guide.

-Dites moi, mon cher, quel est cet endroit? Vous n’avez pas daigné me répondre tout a l’heure. Je suis peut-être nouvelle ici, mais ce serait bien quand même de savoir a quoi m’attendre. Je sais que vous avez utiliser un produits aillant été inventé assez récemment pour m’endormir. Je sais aussi qu’il n’y a que 4 possibilités de mélanges d’ingrédients pour arriver aux effets secondaires que je subits, alors vous êtes obligatoirement une organisation criminelle. Mais il me faudrait malgré tout en savoir plus.

Éclatant d’un rire cristallin, Alicia porte une main fine a sa bouche et laisse voir un amusement complet et certain.

-Moi, endormir tout le monde ici 24 heures sur 24? Et comment je m’envoie en l’air avec ça? Comment j’apprends? Comment je m’améliore dans mon milieu? Et comment je peux faire alors que je ne sais pas me battre? Faire des explosifs est très facile, surtout le napalm. Mais me battre au corps a corps, je ne peux pas. Alors comment je pourrais terrasser une montagne de muscle aussi sexy que vous pour vous endormir? Mais bon, je devrai simplement m’approcher des scientifiques de l’endroit, s’il y en a.

Puis, sur ces mots, Alicia marche vers son lit, s’y assoit et continue de fixer le militaire.

Éclatant a nouveau de rire, Alicia plonge son regard dans celui du militaire. Son regard a complètement changer. Il est devenue dur, calculateur, précis et surtout, sournois. Un regard légèrement dédaigneux, un rien supérieur, complètement sur d’elle.

-Je trouve amusant que vous dites cela. A vrai dire, je remarque votre boite noire dans votre poche. Je remarque aussi que vous utilisez les fruits des recherches de ces scientifiques qui travaillent si fort pour facilitée la vie a des types dans votre genre. Des types musclés, qui savent se battre, mais qui si on les met dans un labo avec des produits légèrement volatiles, ils font exploser un cartier. Du gaspillage? Si nous, les scientifiques n’aurions pas été la, ce bâtiments n’existerais même pas, pas plus que votre boite noire. L’Oracle non-plus, pas plus vos armes, vos vêtements et encore moins tout ce que vous mangez.

La colère brille dans les yeux de la jeune femme face a l’insulte face a sa profession.

- Calmes-toi ma jolie... T'auras tout le temps que tu veux pour faire joujou avec tes petits jouets... D'ailleurs, parlant de jouets, t'as des livres sur la table là pour t'amuser. Je parie que t'as envie de faire joujou avec tes petits jouets n'est-ce pas ma belle ? dit-il avec son humour sarcastique.

- À moins que tu préfères jouer avec un autre jouet qui soit plus dangereux et qui puisse peut-être te satisfaire d'avantage. dit-il en s'approchant doucement de la demoiselle pour lui murmurer ensuite à l'oreille. On pourrait bien s'amuser tous les deux... en posant ses grosses mains sur les épaules de cette dernière.

La tunique de la jeune fille était suffisamment moulante pour que l'homme puisse entrevoir les formes d'Alicia. Après tout, elle était jolie. Pourquoi ne pas en profiter ? De toute manière, qui croira-t'on ? Elle ? Sûrement pas...

Michael avait fermé sa boîte confiant. Il vit alors la porte des dortoirs et ne porta pas attention à ce qui était écrit sur la porte. Oracle lui avait dit qu'on lui avait assigné la chambre #2. C'est alors qu'il ouvrit la porte et entra. Il ferma la porte sans vraiment regarder autour et il se retourna lentement, sentant une présence. C'est alors qu'il vit le militaire à proximité de la demoiselle. Il équarquilla les yeux par surprise. Puis, d'un ton calme et doux il demanda ;

- Heuh... vous faites quoi dans ma chambre ?

Le ton de voix du jeune homme ne se voyait pas menaçant du tout. Il était même très cordial. Il entrait dans la chambre #2, celle-là même qu'on lui avait assigné et il y découvrait deux personnes, dont une demoiselle qui semblait être dans une situation un peu embêtante. Sans doute le militaire avait'il l'intention de s'amuser avec elle mais l'intervention subite de Michael allait peut-être aider cette dernière à disposer de l'individu sans trop de dégats. S'il ne le prenait pas pour une menace.

Les mains du militaire sur ces épaules rendent Alicia fiévreuse. Est-il vraiment sérieux, va-t-il vraiment coucher avec elle? Au moment ou elle le prend par le cul de son uniforme pour l'attirer a elle dans un baiser passionnel, la porte s'ouvre et un jeune homme entre avant de refermer la porte. La surprise était visible sur son visage, une vision hilarante vraiment! Un sourire naît sur les lèvres de la jeune fille au moment ou le nouveau venu leurs demande ce qu'ils font dans SA chambre.

-Hey! C'est a moi de poser la question! C'est ma chambre ici, dortoir des filles! A moins que tu sois venue pour moi? Ah! J'espère que c'est ça, deux gars, c'est vraiment génial! Tu veux te joindre a nous?

A ces mots, elle enlace avec tendresse le cou du militaire et l'embrasse chaudement et passionnément.

Le militaire, prit sur le fait, sursauta. Il repoussa les avances de la jeune femme et replaça sa tunique pour ne pas être suspecté. Il se regarda brièvement dans le mirroir.

* Eh merde, les femmes et leur putain de rouge à lèvres... * pensa-t'il presque en colère.

Il prit un mouchoir qu'il hummecta de sa salive et retira les traces de maquillage de son visage. S'il fallait qu'un autre de ses collègues le voit avec du maquillage, il serait bon pour être la risée du groupe pendant la semaine entière. L'idée ne lui plaisait pas.

Lorsqu'il eut retiré le maquillage de son visage, il se tourna vers la demoiselle qui était semblait-il gravement atteinte et jetta un regard menaçant au jeune homme.

- Si jamais un de vous deux dit ne serait-ce qu'un seul mot de tout ça à qui que ce soit, je m'assurerai qu'il ne dira plus un mot de toute sa vie. J'espère m'être bien fait comprendre...

Il s'immobilisa devant la porte de la chambre frustré et jetta un dernier coup d'oeil aux deux jeunes gens.

En entendant les propos du militaire, Michael esquissa un sourire. Ainsi donc, ce tas de muscle était soucieux de sa réputation. Voilà qui était intéressant pour ce qui semblait être un endroit réservé aux pratiques malsaines. Un tel point faible n'aurait dû être montré en présence de première années. C'était là une chose que le militaire devrait pourtant savoir.

La jeune femme était plutôt charmante, attirante même. Dommage que le moment soit si peu opportunt et que le militaire se soit trouvé dans la même pièce qu'eux. Sans doute aurait-il été plus plaisant si ce dernier ne s'était pas trouvé là, alors qu'une merveille s'offrait si sensuellement à lui. C'est toutefois avec un ton tout à fait poli, quelque peu hautain et réservé qu'il répondit à la fois à la jeune femme et au militaire.

- Pardon mademoiselle, je croyais qu'il sagissait de ma chambre. J'ai dû confondre avec le dortoire des garçons. Vous ne m'en voulez pas j'espère ? et du même ton, il répondit au militaire ;

- Je vous assure que ce qui vient de se passer restera entre nous. J'espère que cette réponse vous convient. dit-il en faisant un clein d'oeil à la demoiselle.

La réaction du militaire la laissant toujours bouillante, la jeune scientifique se lève brusquement avec un regard presque furieux, mais surtout très contrarié. Elle regarde le militaire qui lui jette un coup d'oeil et lui répond avec un ton plus venimeux qu'un serpent

-Mouais, t'en fais pas, je dirai rien... J'ai surement trouvé meilleur coup que toi, moins imbue de sa réputation je parie. Plus jeune donc plus énergique. Vas surement déchargé plus rapidement, mais au moins, j'suis sure de sentir de quoi!

Sur ces mots, elle approche de Michael et lui pose une main sur l'épaule en lui murmurant a l'oreille

-Si t'es un bon coup, je ne t'en voudrai pas. Sinon, je te promet une mauvaise nuit, tu seras mon cobaye pour quelques expériences intéressantes.

Le militaire qui s'apprêtait à sortir se contenta de gromeler en franchissant le cadre de porte, laissant les deux jeunes gens à leur discussion. Après tout, la garce, pensée du militaire, n'était pas des plus alléchante et il trouverait une victime plus résistante pour satisfaire ses besoins. Bref, trouvant la situation des plus embêtante, il se dirigea vers le bureau du militaire en chef histoire de voir s'il pouvait revenir dans les rangs.

- Je vous ai à l'oeil les gamins...

En sortant, il claqua pratiquement la porte. À vrai dire, il ne croyait pratiquement pas un mot de ce que les gamins avaient dit, mais il n'avait pratiquement pas le choix. Il détestait d'avoir à faire confiance à des gamins. Ils étaient mal élevés, répugnants et ils ne pensaient qu'à désobéir aux ordres.

Eh bien, c'est le moin qu'on puisse dire, elle lui avait répondu avec une telle finesse que Michael se contenta de soulever un sourcil en signe de surprise. Toutefois, il ne parvint pas à ignorer la main qui s'était posée sur son épaule et encore moin le murmure de la blonde qui se trouvait à une si courte distance qu'il pouvait en humer le parfum qu'elle portait.

- Un bon coup... murmura-t'il sur un ton neutre qui se voulait à son intention à lui seule.

De toute évidence, elle lui faisait des avances. Certes, elle était charmante, mais même la plus jolie des succubes n'aurait pas sû s'emparer de Michael aussi facilement. Notre homme resta quasiement de marbre, son regard perdu dans le fil de ses pensées, observant le décor de la chambre, les tons de rose en ne bougeant que les yeux. Il poussa un soupir puis répondit à l'intéressée.

- Je vous en prie, maîtrisez-vous. D'ailleurs, je suis loin d'être le genre de type qui se laisse envouter aussi facilement. Je suis toutefois navré de vous décevoir mademoiselle... ? demanda-t'il en attendant qu'elle se présente.

Éclatant d'un rire cristallin, Alicia plonge son regard rouge sang dans celui du jeune homme devant elle.

-Qui parle de t'envouter? La sexualité n'a rien de magique, c'est juste sacré! J'ai envie, j'ai besoin, je DOIS baiser et toi, tu vas entrer et sortir de ma chambre sans rien faire pour te faire pardonner?

Éclatant d'un rire cruel, Alicia plante les ongles de sa mains dans l'épaule du jeune homme et l'agrippe par la gorge dans le même mouvement. Elle pourrait très facilement lui perforer le pharynx dans cette position, l'obligeant a ce noyer dans son propre sang.

-Je m'appelle Alicia Varney, pis je suis pas le genre de fille a faire chier. T'es venus dans MA chambre, tu vas me baiser. Faut que je le fasse, fais au moins 2 semaines que j'suis sur le neutre, alors bon coup mauvais coup, tu vas faire l'affaire. Reste a savoir si tu te défends bien au lit... Et comme j'ai pas ton nom, et qu'il m'intéresse pas pour l'instant, tu va t'appeler Spot. Vais réajuster mon opinion de toi si tu me fais venir 4 fois avant de ressortir.

Puis, sans un autre mot ni un autre regard, elle le libère et se dirige vers le lit.

Jugeant les propos de la belle comme étant exagérés, il demeura pensif. Elle était jolie mais elle voulait tellement obtenir ce plaisir charnel qu'elle lui proposait que ses plans en tombaient presque à l'eau. Cette beauté sauvage se montrait plutôt agressive pour une première rencontre. D'ordinaire, les femmes préféraient y aller en douceur et y ajouter une petite touche de romantisme mais elle, ne semblait pas être de ce genre... Les ongles de la sirène qui se trouvait devant lui se plantant dans sa peau et celle-cie esquissant une forme de menace, situation plutôt ironique et intriguante.

* Elle est timbrée et obsédée par le sexe... faudra voir un plan de secours... * pensa-t'il en la regardant se diriger vers le lit.

Michael ayant reçu l'invitation à se lier physiquement à la demoiselle recula d'un pas et s'appuya dos au mur. Certes, il aurait pû accepter directement l'invitation de cette dernière mais ses avances hâtives offraient une multitude de possibilités qui n'auraient pû être. La nature "sadique" de cette dernière était très évidente, chose qu'il n'avait jamais vu chez ses victimes. Il croisa les bras sur son torse fixa son regard penseur vers le lit et s'adressa à elle doucement ;

- Alicia... Vous êtes charmante, intriguante même mais je crois qu'il vaudrait mieux que nous en restions là. Dans le cas où ma présence vous serait si irrésistible que vous ne pourriez vous contenir, je vous ferai la grâce de sortir de votre chambre et de vous laisser pour vous éviter de devoir résister à votre besoin. dit-il en contemplant la beauté à qui il parlait.

Une lueur inquiétante passe dans le regard de la jeune scientifique. On y voit une soif de sang, de destruction et d'infliger la plus grande douleur possible qui se succèdent rapidement.

-Ah bon? Spot, t'as envie d'être un méchant chien? Le dernier méchant chien que j'ai eu, j'lui ai casser deux pattes pour y'apprendre a obéir. Tu veux vraiment prendre le risque? T'as une dernière chance de t'en tirer sans que j'te saute a gorge.

Les doigts agrippant le matelas au point de devenir blanc montre la contrariété et la rage de la jeune femme. Elle a besoin de prier, elle va prier. La sexualité étant sa religion, elle va même prier longtemps dans un plaisir intense.

Une lueur d'étonnement passa dans le regard de Michael.

* Elle croit qu'elle peut m'avoir aussi facilement ? *

Certes, elle était intéressante mais il ne renoncerait pas à son intégrité pour elle. Surtout qu'elle voulait le traiter comme un chien et ça, c'était loin d'être son rôle. Bien entendu, il lui serait possible de se la faire plus tard mais ce ne serait que temporaire.

- Eh bien... répondit-il en fermant les yeux.

Michael voyait bien qu'elle ne serait pas du genre à lâcher prise, mais quoi qu'il en soit, il avait perçu l'aspect surnois d'Alicia et ses tentatives de manipulations ne seraient sans doute pas aussi évidentes qu'elle le croyait. Il commençait déjà à envisager la possibilité de se débarasser d'elle dans le cas où elle deviendrait une nuisance. Sa réaction était celle d'une gamine de 5 ans. Le genre absoluement épouvantable et qui s'énerve pour un rien...

* Et la prochaine ce sera quoi ? "Je me suis brisé un cheveux ?"... Je ne les comprendrai jamais ces femmes... Tellement fragiles... *

*Mais merde, qu'est-ce qu'il a ce type? C'est un eunuque? L'est gay? Ou bien c'est juste qu'il veut être menant? Nom d'une salope en furie, faut je baise, j'en ai besoin...*

Se relevant, Alicia approche de Michael dans une démarche chaloupé digne des vague de l'océan. Retirant rapidement son haut d'uniforme, elle apparait alors seins nus devant le beau jeune homme devant elle. Sans la moindre gêne, et surtout sans le moindre tact, elle approche de son oreille pour lui murmurer

-Si t'es vraiment un gars, tu peux pas résister a ça. A moins qu'tu sois impuissant ou eunuque. Si c'est le cas, ça va s'savoir partout icitte, tu peux en être certain. Alors, capable de bander pis d'me satisfaire, j'te laisse même être celui qui mène si t'en as besoin.

Michael observa Alicia d'un oeil amusé alors qu'elle dévoilait sa généreuse poitrine. Une telle poitrine méritait sa dose d'attention. Il y porta donc son regard sans toutefois ne faire aucun mouvement pour les atteindre.

* Je me demande s'ils sont vrais ou plastiques... *

Réalisant la tournure que venait de prendre son dialogue intérieur, il prit appui sur le mur sans toutefois détacher son regard des deux globes qui composaient la poitrine d'Alicia, puis, après quelques secondes pour satisfaire son regard, il leva les yeux vers le visage de cette dernière que l'impatience commençait à gagner.

* Merde, elle est vraiment ravissante... elle ne sait pas à quoi elle s'expose... *

- Il se fait tard, je suis fatigué. Nous en reparlerons.

Puis il posa deux doigts sous son menton qu'il releva un tantinet et les fit glisser le long du cou de cette dernière jusqu'au haut du sternum avant de déposer un petit baiser sur la joue de la demoiselle et de se diriger vers la porte et de l'ouvrir.

- À demain matin... Nous déjeûnerons ensemble si tu veux...

Porte aussitôt ouverte, aussitôt refermée par un magnifique coup de pied retourner d'Alicia. Dans le même mouvement, elle prend le poignet de Michael et, dans un tournoiement étonnant et sans le blessé, elle pose la main chaude et masculine sur son sein. Sans le relâcher, elle le plaque contre le mur et, soudant ces lèvres aux siennes, l'embrasse aussi sauvagement qu'un animal.

-C'est la qu'j'ai faim. Demain c'est demain, j'vis dans le préset moi. Viens pas m'dire que je te fais pas l'moindre effet! T'es du genre a te faire prier? Alors, si ça peut t'faire plaisir, je t'en prie baise moi!

L'insistance sur le prie étant très visible, Alicia espère que Michael craquera, elle a trop besoin de lui a ce moment.

La poignée lui glissant des doigts, Michael se demande se qui se passe, jusqu'à ce qu'il ressente qu'on lui tire le poignet et que sa main se retrouve sur la poitrine de la demoiselle, qu'il se sente plaqué contre le mur et qu'elle se mette à l'embrasser avec fougue.

* Non mais elle insiste là ou je rêve ? *

Michael se laisse faire quelques instants puis il saisit la tête de la demoiselle entre ses mains, glissant ses mains dans sa longue chevelure dorée qu'il tira légèrement vers l'arrière pour ne pas lui faire mal et avoir la chance de placer quelques mots.

- Vous êtes tout à fait resplendissante Alicia...

Le jeune homme désserra sa prise en ramenant ses mains sur le bas de la combinaison de la demoiselle de manière à entrer en contact avec son postérieur pour la soulever délicatement tout en lui rendant ses baisers. Il la soutint et l'entraîna vers le lit lentement et avec finesse. Suite à quoi, il la plaqua sur le lit, l'embrassa une dernière fois en la caressant puis il la regarda avec un sourire en coin.

- Ce sera encore meilleur demain, je te l'assures... murmura-t'il à l'oreille de la petite princesse en la fixant de ses yeux charmeurs tout en immobilisant ses poignets de chaques côtés de sa tête tout en maintenant son visage à quelques centimètres de celui de celle-cie.

Les mains sur sa croupe l'excitant a un point étonnant, quand Michael lui dit que ce sera encore meilleur demain, lui emprisonnant les poignets dans un brulant étaux, elle ne peux que lui mordre doucement la lèvre inférieur. Pour s'assurer qu'il na s'enfuira pas, elle referme les jambes dans son dos, en glissant une entre les jambes de ce beau spécimen mâle, l'autre restant dans son dos au dessus des fesses.

-J'suis d'accord pour demain. Alors, vue que t'es vachement cute, j'suis prête a accepter que tu m'prenne une fois rapide se soir, pis on remet le plan feux d'artifice pour demain. Ça t'vas? Moi, je dois absolument baiser la, maintenant, ou ben j'explose...

Son regard montre qu'elle est sérieuse, elle en a besoin, ce n,est pas qu'un caprice.

Il la regarda avec un sourire en coin et une étincelle de malice dans le regard.

- T'aurais pas dû faire ça...

Il commença à l'embrasser avec plus de fougue, tout en maintenant les poignets de la demoiselle en place avec ses mains. Puis il continua de l'embrasser en faisant glisser ses lèvres le long de sa poitrine généreusement offerte et dénudée. Puis il fit descendre ses mains jusqu'à ses hanches avec une grande délicatesse, effleurant sa peau. Ses lèvres descendirent jusqu'au nombril de la demoiselle où il déposa quelques baisers avant de s'attarder sur le panthalon qu'elle portait tout en la regardant étendue sur le lit aux couleurs chaudes puis rapidement, il lui enleva son panthalon pour ne lui laisser que sa petite culotte. Il approcha alors sa tête de sa culotte qu'il lui retira avec les dents tout en caressant la pointe de ses seins qui étaient durcis par l'exitation. Déposant le sous-vêtement sur le sol, il approcha alors sa bouche du centre d'exitation de la demoiselle.

Son plan semblait fonctionner pratiquement comme prévu...

Il fit glisser sa langue tiède dans la fente d'Alicia qui s'était humidifiée, goûtant à ses sécrétions sans goût précis. Il titillia pendant quelques secondes le clitoris de cette dernière et leva les yeux vers elle. Suite à quoi, il fit entrer un doigt dans son vagin et le ressortit aussitôt. Puis, il se leva et quitta la pièce en faisant un clein d'oeil à Alicia.

- À demain ! Si tu me cherches, je suis dans ma chambre...

[Direction : Chambre de Michael Legendre]

Pendant 2, 3 puis 4 minutes, Alicia regarde, incrédule et abasourdie, la porte de sa chambre pour s'assurer qu'il ne s'agit pas la d'une très mauvaise plaisanterie. Se petit salaud a vraiment oser lui faire ça a elle, une des plus brillante personne de la terre? Un des plus belles et des plus humbles que la planète puisse porter? Elle dont la bonté n'égale que l'importance de son Q.I. si élevé et impressionnant?

*Y va m'le payer, m'le payer très cher. Y pleurera avant que j'le lâche, Y va gueuler comme un porc qu'on égorge avant que j'le détache, le p'tit enfoiré. Pis j'sais déja comment j'vas m'y prendre...*

Se levant rapidement, elle remet ses vêtements vitesse grand V et commence a observer la chambre. LA! alors la oui, merveilleux! La lampe fera une arme parfaite pour l'assommer! Elle la prend donc, après l'avoir débranché, puis, sur la pointe des pieds, sort de la chambre et ce dirige vers celle de Michael.

[Direction : Chambre de Michael Legendre]